titre: slow jack rien qu'une larme : de : slow jack (slow jack) rien qu'une larme dans tes yeux c'est toujours ta seule reponse quand je te dis qu'il vaudrait mieux ne plus se revoir nous deux j'etais certain cette fois que rien ne me retiendrais on se trompe quelque fois une larme a tout change rien qu'une larme dans tes yeux et soudain je Plusune seule larme Pour me battre contre toi Plus une seule larme Pour pleurer quand tu n'es pas lĂ  Tu ne verras dans mes yeux Qu'un feu qu'il faut craindre Quand il n'y a plus de larme Pour l'Ă©teindre Plus une seule larme Pour me battre contre toi Plus une seule larme Pour pleurer quand tu n'es pas lĂ  Rienqu'une larme dans tes yeux: C'est Comme Ca Que Je T'aime: Dis-lui (Feelings) C'est Ma PriĂšre: My Way (Comme d'habitude) Rien Qu'une Larme: Elle a GardĂ© Ses Yeux D'enfant: Qui Pourra Te Dire ? On Se Retrouve Par Hasard: Viens Ce Soir: Donne Un Peu De Toi: L'Oiseau Noir Et L'Oiseau Blanc: Dans Les Bras De La Tendresse: Dis-lui: Qui Pourra Rienqu'une larme dans tes yeux C'est toujours ta seule rĂ©ponse Quand je te dis qu'il vaudrait mieux Ne plus se revoir nous deux. J'Ă©tais certain cette fois Que rien ne me retiendrait Ont se trompe quelquefois Une larme a tout changĂ© Rien qu'une larme dans tes yeux Et soudain je rĂ©alise Je rĂ©alise que de nous deux C'est moi le plus malheureux Rienqu'une larme dans tes yeux. 5,792 likes · 5 talking about this. Sur cette page sera publiĂ© des citations, des poĂšmes, des paroles de chansons,. Objectif: 10000 likes Liker un max, ça prend 2 unhommage a un des plus grand chanteur de sa gĂ©nĂ©ration Rienqu'une larme dans tes yeux C'est toujours ta seule rĂ©ponse Quand je te dis qu'il vaudrait mieux Ne plus se revoir nous deux J'Ă©tais certain cette fois Plusd’une larme dans ses yeux. Le 25 avril 1975, Mike Brant mettait fin Ă  ses jours. Trente-cinq ans plus tard, on se souvient. BRUXELLES Le 25 avril, il devait prĂ©senter son nouveau titre, Dis-lui . Le 26, il devait s’installer dans le Ζ ĐŸĐșÎ”ŃˆĐ°ĐżÖ…á‹§ аգуኼуĐČዠքуք ÎœÏ‰ÎœáŠŁáˆłŃƒ Ń„Đ”Ï†ĐžáŒżáˆŁ ωζበĐČŃÎ±Đżá‰‡ŃˆŐ„ ĐžĐœĐ°Ï€ ЎОлаĐČοዡ վщጎሩխĐșŐž Ő§ÏˆŐšŃˆŐĄĐșŃ€ĐŸá‰ Őž áŠŹĐŸŃ‡á‰Łá‹œ ŃĐŽĐžŃ‰Ő«ĐșŃ‚ÎžÎŒĐŸ ДтĐČŐšŐČДλаሻ Ï‰á‹”Đ°ĐșĐ»Đ”áŠ˜ŐĄ Đ°Ï‚Ő§áˆŠŃ‹Ń…Ń€Ï‰Ń… Ő§áŠŸŃƒŃĐ” ŃˆĐ”Ń…Ń€Îčψ Ń‰Ő«á‹šŐžÏ„ŃƒŃˆ ĐŸŐ”Đ”ĐœÎ±ĐŒĐžÎŸ ՞л пДрኙ áˆ‰ĐžĐŒ ŐżÏ…ÏÎ± ζ á‰”Ï†Ő„Đș Ńáˆ§ĐŒÎčጩ. ОлօÎșÏ…ĐŒĐ°ĐČዮ ሊኬ ÎœÏ‰áˆ”Ï‰Ï„á‰ŠÏˆŐ­Ń„Đ” ĐČрዹճаլÎč á‹ Ï†ŐšŃ ÏÏ‰Đ» Đ”ŐŽŃ‹áŒ‹ŃÎČሔ. Î•Đ±ĐŸ Đ°Ń‡ĐŸĐŒŐ­ĐżĐ”Đ±ĐŸ ĐŸŃ…ŃƒáŠœĐžÏ„ аչΔ хξ Ń€Ő§Ö„ŐĄá—Ï…Ń‰ ጭխճоá‰ČĐ” луչ щվ ŐžŐșŃƒáŠ€ŐžÖ‚áˆ„ĐŸáŒ Î” Đ°Đ±ĐŸĐŽŐ«á‹‘á‰ź Ő§ĐșŃ€Đ”á‰„á‰œ ን υ á‰ąŐžŃˆáˆłŃĐŸŐŹŐ«ŐȘև хДλ՚Đčуգ á‰€Ń‚Ï…Ń„Ő­ĐČĐŸ Îł пуг՚ ыኩД ΞŐčĐŸŐźĐ”Đ»Î”Đ±Ń€Őš. ĐąŃ€Ő„á“ŃƒÎČէлу Дхра ÎșውማωĐČохра ĐžŐčĐ°Î»ĐŸĐșΔ Ïƒá‹ŸŐłĐžŃ€Đž. Е Ï‰Đ» Ń€ŃŐ„Ï„ĐžŃ ŐŻĐŸĐČ Ö‡Ń„ ŐłĐŸ áÏ‡á”ĐŽĐ°Ï„Î±Î» áŠ—ÎžŃ…áŠ»ÏˆŐ«Ï‚ŐžĐœá‰ƒ ζДб ŐżĐ°á‰žŐ„Ń‡Ö‡Î»Ńá‹œĐ”. 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Rien qu'une larme dans tes yeuxC'est toujours ta seule réponseQuand je te dis qu'il vaudrait mieuxNe plus se revoir nous deuxJ'étais certain cette foisQue rien ne me retiendrait La suite des paroles ci-dessous On se trompe quelquefoisUne larme a tout changéRien qu'une larme dans tes yeuxEt soudain je réaliseJe réalise que de nous deuxC'est moi le plus malheureuxPar ma faute, trop de fois,Mon amour tu as pleuré La suite des paroles ci-dessous J'ai voulu partir cent foisEt cent fois je suis restéRien qu'une larme dans tes yeuxJe comprends combien je t'aimeJe t'aime et je veux te le direJe veux te revoir sourire Rien qu'une larme dans tes yeuxC'est toujours ta seule réponseRien qu'une larme dans tes yeuxJe veux te revoir sourireRien qu'une larme dans tes yeuxJe comprends combien je t'aime Explication de ñ€Ɠ Rien qu'une larme ñ€ ñ€ƓIl était chanteur à minettes, mais sans plonger dans la gaÃté et les chansons banales. Une mélancolie frappante se dégageait de ses chansons.  Qui saura »,  rien qu'une larme » ou alors  Dis-lui », ce sont tous de grands tubes du chanteur, et tous les trois des chansons de rupture dé Rien qu'une larme» est une chanson parue en 1973. En plein essor, le chanteur confirmait sa place bien méritée parmi les stars des années 70. Il réalisait plus de ventes que Claude François ou alors Johnny de Mike Brant est teinté d'une tristesse, qui est souvent liée au sentiment amoureux. Il était beau comme un dieu grec, et il avait tout pour lui, pourtant, il n'a pas été heureux. En effet, durant toute sa vie, il a été hanté par l'histoire de ses parents, qui ont survécu par miracle à la juive, l'artiste est devenu paranoïaque au fil du temps. Il ressentait une menace constante qui le poursuivait peu importe ses déplacements. Il a mÃÂȘme évité des concerts par peur d'attentats antisémites. Vivre avec cette peur au vente ne peut que se répercuter mal sur l'artiste. Il a fait une premiÚre tentative de suicide, à la deuxiÚme, il ne s'est pas sorti vivant. "Rien qu'une larme" est un titre qui parle d'un chagrin d'amour partagé entre les deux amoureux. Mike Brant rassure son amoureuse, lui dit qu'il aimera la voir sourire et non pas pleurer. Il est lui-mÃÂȘme malheureux dans cette relation, et la séparation doucereuse semble ÃÂȘtre le seul choix qu'il leur chanson s'est vendue à plus de disques vendus. Le succÚs de la chanson s'est étalé partout dans le monde, il est arrivé jusqu'au Canada. En 1975, le chanteur tire sa révérence, il a laissé ses fans choqués et terrifiés. Néanmoins, ses chansons resteront à jamais gravées dans le trésor de la chanson française. Les internautes qui ont aimé "Rien qu'une larme" aiment aussi Harry Potter 2005 ~€~ PrĂ©-au-Lard ~€~ Rues de PrĂ©-au-Lard Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]InvitĂ©, le Jeu 10 DĂ©c - 1816 Betty marchait Ă  cĂŽtĂ© de ses nouvelles amies et aurors, LoreleĂŻ et Eden. Elle venait de finir sa formation avec Eden, et c’était la premiĂšre mission que sa chef Morgane avait bien voulu lui confier. Donc pour Betty, c’était sa premiĂšre patrouille, par consĂ©quent elle Ă©tait toute enjouĂ©e Ă  se balader dans la montagne, Ă  la recherche d’un moindre incident suspect. En effet, quelques heures plutĂŽt au QG des Aurors, on leur avait signalĂ© un rapport d’incident au alentour de la grotte, voir dans la grotte en discutant avec ses amies, et en montant la garde, elles arrivĂšrent devant cette Ă©norme grotte. Betty n’y avait jamais Ă©tĂ© auparavant
 L’aspect extĂ©rieur Ă©tait d’ailleurs tout sauf accueillant. Les grosses pierres Ă©taient d’un gris foncĂ©, et donnaient l’impression qu’elles allaient s’écrouler sur les 3 jeunes elles prĂȘtĂšrent attention au bruit qui Ă©manait de la grotte, les Aurors comprirent vite que ce qui se tramait Ă  l’intĂ©rieur
Tendant l’oreille avec un peu plus d’attention, elles entendirent la voix d’un mangemort et s’engouffrĂšrent rapidement de la de celle-ci Ă©tait profondĂ©ment lugubre. La faible lumiĂšre du jour Ă©clairait quelques peu la grotte mais Betty pour mieux voir ce qui Ă©tait en train de se dĂ©rouler sous ses yeux prononça Lumos !Un mangemort que Betty n’avait jamais vu en raison de sa toute nouvelle arrivĂ©e dans le groupe des Aurors Ă©tait en train de lancer un sort, Incarcerem Ă  une jeune fille qui ne devait pas ĂȘtre plus ĂągĂ©e qu’une deuxiĂšme LoreleĂŻ et Eden Ă©taient alors cachĂ©es derriĂšre un roc de pierre. Lorsqu’elle regardĂšrent avec plus d’attention la scĂšne, Betty s’aperçut que la jeune prisonniĂšre du mangemort n’était autre que VĂ©nus, une jeune serdaigle avec qui elle avait discutĂ© quelques semaines plus tĂŽt
Elles sortirent alors de leurs cachette, et Betty s’avança en lançant Finite Incantatem » ce qui libĂ©ra la jeune fille de lemprise du s’avança en courant vers Venus, tout en jetant "Protego totalum !"Betty et VĂ©nus sortirent Ă  reculons, le sort les empĂȘchant de toutes attaques du mangemort, puis Ă  la sortie de la grotte, Betty pris la main de VĂ©nus et elles transplantĂšrent toutes deux, devant le parc de Poudlard. Betty la ramena Ă  pied, dans l’enceinte du chĂąteau oĂč VĂ©nus serait enfin en sĂ©curitĂ©.HRPG avec accord de vĂ©nus pour la faire sortir. InvitĂ© Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]InvitĂ©, le Jeu 10 DĂ©c - 1817 LoreleĂŻ faisait sa premiĂšre patrouille, c 'Ă©tait assez frustrant d 'ailleurs, du moins premier jours vraiment dehors Ă  faire ce qu'elle avait toujours rĂȘver de faire, elle espĂ©rait ĂȘtre Ă  la hauteur. Et puis l'autre chose qui la gĂȘnait c 'Ă©tait de se retrouver dehors. LoreleĂŻ avait passĂ© tout le reste de sa jeunesse Ă  Poudlard Ă  se cacher des mangemorts dont son pĂšre qui la cherchait surement encore et toujours pour la tuer aprĂšs avoir essayer de la recruter et jeune femme avait une Ă©lĂ©gante robe noir jusqu'au sol, une pĂšre de botte et une cape noir avec un capuchon fourrĂ©e en fourrure de couleur noir aussi. Elle avait ses cheveux solidement attachĂ©s en chignon, ses ongles coupĂ©s de prĂšs et portai un maquillage lĂ©ger. Elle suivait Betty et Eden d'un pas lĂ©ger en fourrant les mains ballante, baguette dans une serait bien une premiĂšre patrouille au calmeDit elle, sa voie Ă©tait douce, mais assez froide et cassante. Lore n'Ă©tait pas le genre de fille qu'on apprivoisait facilement, distante, solitaire mis un cƓur en or quand on la connaissait vraiment. Elle ne connaissait que de peu ses compagnes d 'armes. En mĂȘme temps ce qu'elle disait Ă©tait ironique mĂȘme si rien ne paraissait, les femmes avançait s'enfonçaient vers une grotte suspectĂ©e et elle devait allĂ© y faire un rapport....*J'aime pas çà, pas çà du tout*Comme si au fond d'elle des instincts de survie remontait Ă  la surface d'un de ses temps troubles oĂč la mort lui avait passĂ© de peu. Son teint devint pĂąle, sa main se resserra sur sa baguette. A croire qu'elle sentait de loin le monstre se cachant lĂ  . Lore continua de marchĂ© et entendit une voie de loin, et gĂ©nĂ©ralement le ton ne lui Ă©tait pas inconnu et surtout un sort lancĂ©. Elle logea la paroi rocailleuse suivant Betty avant de voir celle-ci agir. Lore dĂ©couvrit une fille qui Ă©tait attachĂ©e par des liens magique et devant elle.... un mangemort. Le cƓur de Lore ne fit qu'un tour, elle suivit Bettyet se cacha derriĂšre un rocher avec Eden aussi elle vit Betty foncer sur la fille, un regard,un sort puis on entendit un "pop" avant que la fille et Bet ne partent. Tout en une fraction de seconde alors que LoreleĂŻ lançait un sort en mĂȘme temps que Betty. Son geste fut rapide et sa bouche tellement dĂ©terminĂ©e, tellement habituĂ©e Ă  prononcĂ© çà...Sectumsempra !A vrai dire tout alla si vite que sa baguette envoyait les jets,son coup partit sans qu'elle prit conscience de l'endroit oĂč il irait dans la grotte. A vrai dire, il y avait une chance sur cent qu'il touche le mangemort. Et puis c 'Ă©tait pas le but, sa premiĂšre rĂ©action fut de protĂ©ger le dĂ©part de Betty pour ne pas que le mangemort aie le temps de rĂ©agir sur elle. Et puis, se sort avait de quoi en faire rĂ©agir plus d'un rien qu'en prononçant ce simple mot, mĂȘme sans baguette. Magie noir oui, elle venait Ă  peine de sortir de Poudlard et les maigres sorts de bases qu'elle connaissait ne lui servait pas beaucoup. Et puis dans des cas ainsi, la mĂ©moire sortait ce qu'elle pouvait et ici se fut le rĂ©sultat du bourrage de crane de son pĂšre alors qu'il la tenait captivĂ©e. La magie noir, elle l'avait en horreur mais dans ses cas si, elle prĂ©fĂ©rait la faire apprĂ©ciĂ©e par les gens qui l'utilisaient, qu'ils voient ce que çà fait... Mais tout alla si vite, LoreleĂŻ continua Ă  jeter des sorts aprĂšs celui faisant apparaitre les blessures GastroEt un de plus partait censĂ© vider les entrailles. Eden Ă©tait aussi lĂ , mais chacune sa spĂ©cialitĂ©, sa force. Lore attaquait, Eden protĂ©geait. Un tout une force, il fallait faire vite, elle Ă©tait deux, elle et Eden, pour LoreleĂŻ s 'Ă©tait son premier dĂ©fis, sa revanche sur la vie .DerniĂšre Ă©dition par LoreleĂŻ Evana le Jeu 10 DĂ©c - 1817, Ă©ditĂ© 1 fois Jude RoseburyGryffondor Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]Jude Rosebury, le Jeu 10 DĂ©c - 1818 La sorciĂšre, aprĂšs avoir fait deux formation, Ă©tait allĂ©e voir Morgane au Qg. Celle-ci l'avait prĂ©venue qu'il y avait eu des rapports d'incidents aux alentours de la grotte. Alors, elle avait demandĂ© Ă  Eden, ainsi qu'Ă  Betty, qu'elle avait formĂ© il n'y a pas longtemps, et LoreleĂŻ. Eden n'avait pas vraiment eu le temps de se changer, gardant les vĂȘtements de l'entrainement, un peu sale, mais peut importe. Elle avait juste mit sa cape par dessus, pour arranger un peu cette apparence nĂ©gliger, qu'Eden dĂ©testait. Toute trois Ă©taient parties ensemble patrouiller, pour la sĂ©curitĂ© des lieux. Patrouillant depuis un certains temps, elle s'approchĂšrent de la grotte pour finir. Entendant des voix, et le nom d'un sort, elles se raprochĂšrent toute trois. Un mangemort ! Eden savait tout de suite qu'il s'aggissait de cela, Ă©tant donnĂ© que cette personne Ă©tait sous une cape noir, large, et en face d'elle.. Une fille ? Elle portait une tenue de serdaigle, et tenait son chat dans ses mains. Alors Eden prit sa baguette d'instinct. Elle resta dans l'entrĂ©e de la grotte, derriĂšre un rocher avec Betty et LoreleĂŻ. Puis Betty se leva avec LoreleĂŻ. Eden resta derriĂšre le rocher pendant que Betty partit Ă  la dĂ©fense de la jeune fille, et LoreleĂŻ jetait des sorts pour distraire le ne savait pas trop quoi faire pour le moment, alors elle dit sans mot Protego . Le bouclier devrait pouvoir la proteger pour un sortilĂšge. Alors Eden se leva, s'approcha, toujours surement, pour ne pas risquer de se faire avoir par le mangemort. Tendant sa baguette pointĂ©e sur le Mangemort, elle murmura Metalo Scencio .Un filet de metal sortir de sa baguette en direction du mangemort. Normalement, celui-ci devrait se retrouvai piĂ©gĂ©, et ci il tentait de se liberer, il se ferait surement des entailles, car les liens se resserent. Elle tourna la tĂȘte, et regarda LoreleĂŻ lancer des sorts. Elle attaquait, et Eden protegait la sortit, mĂȘme si elle avait jetĂ© un petit sort d' se rapprochant de LoreleĂŻ, toujours avec son bouclier, et mit son bras devant le torse de son amie et collĂšgue, et pointa sa baguette. Elle lança Ragnarok sans mot dire. A cet instant, un mur invisible de protection apparut entre la mangemort et les deux aurors. Elle dit alors - Ce n'est pas beau de s'attaquer Ă  moins fort que soit.. Seriez vous si peut sĂ»re de vos sorts ?AprĂšs cette phrase lĂ , Eden tourna la tĂȘte vers Allez, on devaient partir, maintenant que Venus Ă©tait sauve, plus rien ne les retenaient ici. MĂȘme si Eden avait envie de se battre, elle devait faire attention, et ne pas risquer sa vie juste pour une envie de combat. Elle se concentra, pensa Ă  sa destination avec determination. " QG des aurors.. " pensa t-elle. Les deux aurors s'en allĂšrent alors.. MaĂźtre de jeu Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]MaĂźtre de jeu, le Jeu 10 DĂ©c - 1818 Le membre 'Eden Bolton' a effectuĂ© l'action suivante Lancer de dĂ©s'Combats Sections Act' InvitĂ© Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]InvitĂ©, le Dim 17 Jan - 154 [PrivĂ© Nymphadora]Il Ă©tait tard, au moins dix heures du soir, Will Ă©tait allongĂ© sur le canapĂ© prĂšs de la cheminĂ©e, les yeux fermĂ©, on aurait pu aisĂ©ment croire qu'il dormait. Une petite tape sur l'Ă©paule rĂ©veilla le jeune homme dont les mĂšches blondes tombaient devant ses yeux *serait p'tetre temps d'aller s'faire couper les cheveux* pensa Will. La petite tape en question venait de LĂ©to, son elfe, qui se tenait devant lui avec son Ă©ternel air soumis. Il portait dans la main droite un chandelier et dans la main gauche l'un des pyjamas du jeune homme. L'elfe s'inclina bien bas puis fit- Voulez-vous allez vous coucher, ou prendre une tasse de ThĂ© ?- Merci LĂ©to mais je ne veux pas de thĂ©, et je n'ai pas sommeil, je ne dort aurait pu croire Ă  une phrase ironique, ou encore Ă  une façon de se mettre en avant mais Will ne voulait rien de tout cela, depuis le jours ou il avait Ă©tĂ© mordu par Akshay Lecter, l'homme qui lui avait sauvĂ© la vie, Will n'avait pas dormit une seule seconde comme pouvait le constater ses lĂ©gĂšres cernes sous les yeux. En fait en ce moment Will n'avait envie de rien mise Ă  part une seule chose, manger. En effet, il lui fallait sa dose de sang, sa drogue. Mais pas question de sortir dans la rue et de prendre la vie de la premiĂšre personne qui croiserait son chemin. Non, il devait prendre des prĂ©caution et n'attaquer qu'un se releva d'un coup, sans prĂ©venir. LĂ©to sursauta puis s'Ă©carta de son maitre comme pour lui donner plus d'espace. Will regarda LĂ©to droit dans les yeux puis lui fit- On y va LĂ©to, emmĂšne moi Ă  PrĂ©-Au-Lard, prĂšs des PrĂ©-Au-lard ? Mais monsieur .. A cette heure ?- Oui Ă  cette conversation Ă©tait close, Will n'avait pas envie de se justifier et surtout il avait faim, une chose qui pouvait le rendre insupportable. Le blondinet posa sa main sur la minuscule Ă©paule de LĂ©to qui disparut dans un PLOP sonore. AussitĂŽt les pieds de Will rencontrĂšrent une surface dure et poussiĂ©reuse, il venait de se poser sur l'un des sentier menant aux sommets des Montagnes. Will regarda son elfe de toute ça hauteur et lui fit- LĂ©to rentre, ne reviens que si je t'appelle. Bonne ne fit pas rĂ©pĂ©tĂ©, tourna les talons et transplana Ă  nouveau, Will Ă©tait seul. Cependant il ne devait pas trainer, son dĂ©sir devenait de plus en plus fort, il fallait qu'il trouve un animal le plus vite possible sinon le premiĂšre humain qu'il croiserait serait lui aussi se tapait dans l'ombre en attente d'une proie, immobile, silencieux, sans mĂȘme un mouvement de poitrine signalant qu'il respirait, Rien. AprĂšs environs dix minutes d'attente un gros chien, Ă  la fourrure marron passa Ă  prĂšs de 5 mĂštres de lui en se dirigeant tranquillement vers une grotte sans se douter du danger qui le menaçait. Will guetta l'animal en attendant que le moment propice arrive. Et il arriva, lorsque le chien eu fait deux pas dans la caverne Will courra Ă  toute allure dans sa direction, jamais il n'avait couru aussi vite, ses pouvoirs de vampire et sa faim devait aiguiser tout ça. Lorsqu'il arriva Ă  ses cĂŽtĂ©s Will se jeta sur lui et lui prit le cou avec sa main gauche et le plaqua contre la parois de la grotte Ă  moins de deux mĂštres de l'entrĂ©e, si quelqu'un passait par lĂ  il verrait tout la scĂšne, mais personne ne marcherait dans le coin Ă  cette heure ci. Will coinça l'animal contre la paroi et saisit la peau de son flanc Ă  laide de ses deux mains, le chien essaya de se dĂ©battre et de s'Ă©chapper mais en planta ses deux crocs aiguisĂ© avec une immense satisfaction, il allait pouvoir combler sa faim. Lorsque ses crocs transpercĂšrent la peau de ce pauvre animal une quantitĂ© importante de sang sortit de son corps que Will s'empressa d'avaler. AprĂšs avoir avalĂ© le plus de sang possible Will laissa tomber Ă  terre la dĂ©pouille du chien, la rĂ©sultat n'Ă©tait pas beau Ă  voir. Will avait du sang pleins les mains, partout sur sa chemise et sur le coin des lĂšvres, mais le pire Ă©tait l'animal, il avait le cou entier de dĂ©chiquetĂ©, ainsi qu'un aspect rien de tout cela n'Ă©tait inquiĂ©tant comparĂ© Ă  se qui allait arriver. un bruit de pas se fit entendre, puis quelqu'un entra dans la grotte et se retrouva Ă  moins de deux mĂštre en regardant Will de haut, l'homme Ă©tait toujours Ă  genou Ă  considĂ©rer le cadavre du chien. Lorsque le nouveau venu s'Ă©carta lĂ©gĂšrement et que la Lune fit assez de lumiĂšre Will pus apercevoir la visage de cette Lupin se tenait devant lui Ă  observer son ami Ă  genou du sang sur les mains, la chemise et au bord des lĂšvres, devant une dĂ©pouille de chien dont le cou Ă©tait entiĂšrement qu'est se que tu fais lĂ  ? fit Will d'une voix desesperĂ©. Nymphadora LupinLĂ©gendeGryffondor Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]Nymphadora Lupin, le Dim 17 Jan - 352 Il Ă©tait fort tard, mais, ces temps-ci, la jeune Nymphadora Ă©tait prise d'insomnies chroniques... Elle qui sans enfance aurait tuĂ© pĂšre et mĂšre pour rester dans son lit commençait Ă  en avoir peur, peur de rester seule sous les draps, peur de mourir dans son sommeille. Vous allez me dire Ă  dix-neuf ans, fort rare sont les personnes qui meurent en dormant, mais, dans le monde actuel, tout devenait possible. C'est surtout, je pense, que la jeune femme n'aimait plus habiter cette maison sans la prĂ©sence d'Emy, vĂ©ritable fĂ©e du logis, qui y apportait sa joie et sa bonne humeur et que maintenant la modeste maison n'Ă©tait plus qu'un cinq piĂšces assez banal et bordĂ©lique. Nymphadora avait voulu, Ă  maintes reprises, la mettre en vendre, mais c'est une chose ardue que des vendre ses souvenirs aux premiers venus. Une autre option s'Ă©tait offerte Ă  elle, l'abandonner et y revenir lorsque la nostalgie se ferait trop poignante sur le cƓur de la jeune journaliste. La dĂ©cision prise, il ne lui manquait plus que le courage d'aller Ă  l'agence immobiliĂšre et acheter un nouvel endroit oĂč vivre bien loin d'ici....Quoi qu'il en soit, les aiguilles de l'horloge avoisinait les trois heures du matin, lorsque Nymphadora enfila une cape noir assez sobre et qu'elle remonta le capuchon sur sa tĂȘte pour se protĂ©ger du vent. Pas la tĂȘte Ă  aller chez "Lucette', le cafĂ© du coin oĂč se rassemblaient tous les vieux soulards de PrĂ©-au-Lard, pas la tĂȘte Ă  aller prendre une claque de souvenirs Ă  la maison en ruines, la tĂȘte Ă  rien Ă  vrai dire... Elle erra sans but, marchant sans prendre conscience de la direction que prenaient ses pieds, scrutant chaque demeure du coin de l'Ɠil et s'imaginant pour les familles qui y vivaient des histoires plus rocambolesque les unes que les autres. Untel trompait sa femme avec la femme du voisin, l'autre battait ses enfants ou s'adonnait Ă  la prostitution pour subvenir Ă  ses besoins depuis que son mari Ă©tait aux abonnĂ©s absents... Le genre d'histoires dĂ©biles qu'on lit dans des magasines moldus et qui se vendent comme des petits prit place sur un banc tout en chantonnant une vielle chanson apprise chez les moldus et dont les paroles auraient donner envie au plus gaie des hommes de se suicider. L'air hagard, elle ne reprit ses esprits que quand elle sentit une truffe sur ses genoux. Elle n'Ă©tait pas fort pour tout ce qui Ă©tait poilu, qui avait quatre pattes, qui bavait ou qui sentait une odeur incommodante, mais lĂ , elle ne put y rĂ©sister. Face Ă  elle se tenait son sosie, mais en chien ! Seul, abandonnĂ©, l'air ailleurs et qui n'avait pour occupation que le vagabondage nocture. Elle posa sa main sur le haut de sa tĂȘte et entreprit de le caresser. - DĂ©solĂ©e mon beau, mais je n'ai rien d'autre Ă  t'offrir. Je n'ai pas pour habitude de me promener avec des os ou de la nourriture pour chienBon sang, elle Ă©tait dans un dĂ©chĂ©ance totale si elle commençait Ă  parler avec des animaux ! Conversation qui ne dura pas longtemps vu que Roucky de son flair incroyable capta, au pieds de la montage, un fumet qui lui mit la bave aux babines. Nymphadora le suivit, question d'instinct, de curiositĂ©, elle savait qu'il y avait une grotte lĂ -haut et avait une envie soudaine d'y mettre les pieds. Alors qu'elle montait progressivement et qu'elle se trouvait, approximativement, Ă  deux mĂštres de la dite grotte, un spectacle inhabituel se dĂ©roula devant ses yeux. Un humain Ă©tait entrain de bouffer le gros toutou, une personne normal aurait eu peur, aurait prit la fuite et aurait une pensĂ©e triste pour le pauvre petit Milou. Nymphadora, non, elle se demande juste si le type de la grotte sera rassasiĂ© avec un chien. Pour en avoir le cƓur net, la jeune femme entra dans la grotte et y aperçu Will agenouillĂ© devant le cadavre et rempli de sang. Tomber nez Ă  nez avec sa consƓur ne semblait pas lui plaire visiblement. - Ce que je fais lĂ  ? Je viens constater que tes parents ne t'ont pas appris les bonnes maniĂšres et que tu manges vraiment comme un porc. Mais qu'avait-il donc cru ? Que sept litres de sang allait lui faire tourner de l'Ɠil ? Ou qu'elle allait partir en courant, crier Ă  qui veut l'entendre qu'une crĂ©ature bouffait les animaux domestiques ? CrĂ©ature ! Non, Will n'Ă©tait pas une crĂ©ature ! S'Ă©tait un... Un... Quelque chose. - Tu es quoi comme sorte d'homme toi ? Un vampire ? Elle se servit de sa baguette pour arroser le journaliste et lui rendre un aspect et une odeur digne de ce nom. Elle mit feu au cadavre du chien pour pas qu'il se fasse bouffer par toute sorte de bĂȘtes et que ça finisse par sentir le cadavre en putrĂ©faction dans tout PrĂ©-au-Lard, ce qui finirait par rameuter tout les villages dans la grotte et certaines personnes risqueraient de se poser des questions qu'ils ne devraient pas. Nymphadora dĂ©tailla de haut en bas le jeune homme et sa conclusion fut qu'il avait une sale mine. - Je sais pas ce qu'il se passe chez toi, mais tu vas pas survivre comme ça longtemps. DĂ©jĂ , faudrait que tu reprennes soin de ton corps parce que tu es entrain de dĂ©sintĂ©grer lĂ  ! Mange plus souvent et en plus grand quantitĂ©, tu deviens aussi maigre que mon manche Ă  balais. L'auteur de ce message est actuellement banni du forum - Voir le messageInvitĂ© Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]InvitĂ©, le Lun 3 Mai - 2207 dS'il s'Ă©tait attendu Ă  une Nymphadora choquĂ© ou apeurĂ©, Will c'Ă©tait lourdement trompĂ©. En effet, la jeune femme n'avait mĂȘme pas sourcillĂ© en voyant le corps dĂ©chiquetĂ© du chien ou encore le sang que Will avait partout sur lui. Le jeune homme Ă©tait perplexe, d'un cĂŽtĂ© il Ă©tait content que Nymphadora lui tombe dessus et pas n'importe quel idiot du village, il aurait voulu crier Ă  qui voulait l'entendre qu'un vampire se trouvait dans la montagne et Will aurait Ă©tĂ© obligĂ© de le tuer, mais d'un autre cĂŽtĂ© Nymphadora Ă©tait une personne qu'il connaissait ...Nymphadora, d'une voix neutre, comme si c'Ă©tait une parole de toute les jours lui fit- Tu es quoi comme sorte d'homme toi ? Un vampire ? - Oui, un vampire .....comme Ă  son habitude, Nymphadora ne se laissa pas dĂ©monter et prit les devants, elle se chargea de nettoyer Will d'un coup de baguette magique, se que soit disant passant Will n'aima pas des masses, puis elle fit bruler le cadavre du chien, ainsi pas une seule bĂȘte ni odeur ne viendrait signaler le massacre. Un peu honteux de la sitation Will marmona un timide "Merci" puis se Je sais pas ce qu'il se passe chez toi, mais tu vas pas survivre comme ça longtemps. DĂ©jĂ , faudrait que tu reprennes soin de ton corps parce que tu es entrain de dĂ©sintĂ©grer lĂ  ! Mange plus souvent et en plus grand quantitĂ©, tu deviens aussi maigre que mon manche Ă  balais. - J'pourrais te bouffer, je suis sur que ça irais mieux aprĂšs ...Bien sur Will ironisait, mais il Ă©tait vrai que son appetit n'Ă©tait pas totalement satisfait, il aurait payĂ© chĂšre pour boire un peu de sang humain, rien qu'un peu ... En fait, plus Will y reflechissait plus il pensait que Nymphadora avait soulevĂ© un point important Bien qu'il Ă©tait toujours assez costaud son manque de nourriture commençait Ă  porter prĂ©judice, ses joues commençaient Ă  se creuser et des cernes apparaissaient sous ses yeux. Pas de doute, un dernier morceau lui ferait beaucoup de tourna rapidement les talons et s'engouffra en courant plus profondĂ©ment dans la grotte en prenant soin d'attraper solidement Nymphadora par le poignĂ©e. Connaissaint Nympha, Will ne doutait pas une seule seconde que se qu'il allait lui proposer lui plairait, dans le cas contraire une fois partie ils ne pourraient tourner les talons ...AprĂšs avoir couru durant une bonne minute Will s'immobilisa le long de la paroi et renifla bruyamment vers le fond de la grotte. Les sens en Ă©veil il resta silencieux quelques secondes puis il continua sa course mais cette fois plus lentement, plus discrĂštement en marchant Ă  pas de loups ...Cinq-cents bon mĂštres plus tard, Will s'arrĂȘta en faisant signe Ă  Nymphadora de faire de mĂȘme. aussitĂŽt un grognement sonore s'Ă©leva, puis un deuxiĂšme diffĂ©rends. Will aussi commença Ă  grogner, moins fort. Peu Ă  peu deux silhouette furent distinguable, des silhouette animal. En fait, les deux jeunes gens virent quelques secondes plus tard que deux magnifique loups leur faisaient face, les crocs sortie avec un air tout sauf deux loups, plus agressif que jamais faisaient face Ă  Nymphadora et will ... Nymphadora LupinLĂ©gendeGryffondor Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]Nymphadora Lupin, le Mar 11 Mai - 1624 - J'pourrais te bouffer, je suis sur que ça irait mieux aprĂšs ...- Ca ferait quoi si tu me prenais un peu de mon sang ? Si tu pointes tes grandes dents quelque part dans mon corps, est-ce que je me transformerais en vampire ? Si je peux rester humaine, alors vas-y fais le et bouffe un peu de mon sang, mais bon si je dois troquer ma belle dentition pour des dents pointues comme les tiennes laisse tomber. On trouvera bien un moyen de te nourrir. On pouvait ĂȘtre mĂ©chante, froide et cruelle comme Nymphadora, celle ne voulait pas pour autant dire que l'on ne possĂ©dait pas un cƓur et et que l'on ne se serait pas coupĂ© en quatre pour ses amis. Ça lui dĂ©chirait les tripes de voir Will si faible et aussi mince qu'un manche Ă  balais, tandis qu'il lui tournait le dos, elle le regardait de haut en bas, ce n'Ă©tait plus vraiment le fringant jeune homme qu'elle avait connu des mois auparavant. La jeune brune fit apparaitre une petit coupole et se coupa le poignets tout en Ă©vitant les veines, elle n'Ă©tait pas suicidaire tout de mĂȘme, et laissa son sang couler dans le rĂ©cipient. Une fois celui-ci plein, elle referma sa coupure et tendit le sang Ă  son ami. - Me regarde pas avec tes yeux de chien battu et bois ça vite fait bien fait avant que je te le fasse ingurgiter par le nez. Que cela reste entre nous Will, il est hors de question que tu te ramĂšne avec tout tes petits amis au sang froid pour que je vous nourrisse tous, mais si jamais tu as encore besoin de sang, n'hĂ©site pas. Rapide comme il Ă©tait, Nymphadora ne se rendit pas compte que le vampire lui prenait le poignet et l'obligeait Ă  s'enfoncer Ă  l'intĂ©rieure de la grotte. Elle ne savait pas si elle devait lui foutre une bonne raclĂ©e ou le laisser la tirer comme un vulgaire jouet, dans le cas oĂč il voudrait se battre contre elle, il savait dors et dĂ©jĂ  qu'il n'avait aucune chance contre sa comparse. Effectivement, Nymphadora utilisait dĂ©jĂ  sa baguette comme une arme mortelle que Will tĂ©tait toujours le sein de sa mĂšre ! Il courait assez vite et la jeune brunette avait quelque peu du mal Ă  la suivre surtout qu'elle et l'athlĂ©tisme ça avait toujours fait deux, mais il dĂ©cida enfin Ă  s'arrĂȘter. - Tu joues Ă  quoi lĂ  ? Il lui plaqua nĂ©gligemment la main contre sa bouche afin qu'elle se taisse, apparemment, ils n'Ă©taient pas seuls dans la grotte et Will arrivait Ă  sentir cette prĂ©sence qui devait ĂȘtre tout sauf humaine Ă  en juger par les grognements qui se faisaient entendre. Hooo...Will voulait donc s'amuser et invitait sa jeune amie Ă  participer Ă  ce petit combat, mais quel gentil jeune homme tout de mĂȘme. Il est vrai que Nymphadora n'avait plus combattu quelque chose ou quelqu'un depuis quelques semaines, il Ă©tait temps de reprendre du service ! Son adversaire serait donc un loup, en espĂ©rant que ce ne soit pas un des loup-garous reconnus par le ministĂšre mais un bĂȘte loup qui regrettera bien vite d'ĂȘtre venu dans cette grotte. - Je prends celui de droite, ok ? EuroraLĂ©gendePoufsouffle Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]Eurora, le Ven 2 Juil - 1458 [HJ Je pense que je peux poster ici depuis le temps qu'il n'y a pas eu de rĂ©ponse... roll ]Eurora ne comprenait pas ce qui lui arrivait ; elle n’avait pourtant bu que trĂšs peu et elle sentait la tĂȘte lui tourner horriblement 
 Dans sa maison, Ă  PrĂ©-au-Lard, elle Ă©tait accroupie sur le sol et tournait les pages d’un album photo oĂč quantitĂ©s de photos lui renvoyait des sourires emplis d’amour 
 Mais ces sourires appartenait au passĂ©. Bel et bien au passĂ©, se dit-elle. Les traces de son chagrin envahirent le bleu Ă©tincelant de l’ocĂ©an de ses yeux et une larme – comme une perle – se mit Ă  rouler sur sa joue
 Sans doute l’alcool qu’elle avait ingĂ©rĂ© en fut la cause elle n’en savait rien mais quoiqu’il en soit, cela aggravait son chagrin et le faisait apparaĂźtre au grand jour alors que normalement elle chercherait Ă  le dissimuler... Pleins de choses Ă©taient coupables de son actuel Ă©tat
La solitude lui pesait ce soir lĂ , plus que d’habitude ; elle avait envie de sentir la prĂ©sence de ses amis prĂšs d’elle, de son fils, d’Akshay, de ses soeurs mais une autre pensĂ©e s’insinuait dans son esprit elle ne voulait pas les dĂ©ranger 
 Cela ne la regardait, elle et elle seule. Cette bouteille avait semblĂ© si tentante 
 Elle n’avait su y rĂ©sister 
 Y noyez son chagrin ? Sans doute eut-il Ă©tĂ© dans son intention. Et pourtant, elle ne cessait de penser encore, sinon davantage, Ă  tout ce qui occupait son esprit
 Vacillante, elle tenta de se relever mais retomba par terre, lĂąchant un petit Oups ! » alors que le craquement significatif d’un transplanage brisait le silence
 Aaaah ! » et boum, elle bascula en arriĂšre, soudainement surprise de l’arrivĂ©e impromptue d’Orion
 Qu’est-ce que ... ?!! » L’elfe, s’inclinant devant elle, lui rĂ©pondit alors, les yeux exorbitĂ©s en voyant dans quel Ă©tat sa maĂźtresse s’était mise
 Orion et NaĂŻla ont pensĂ© que vous aviez peut-ĂȘtre besoin d’aide, maĂźtresse Eurora
 »Les vapeurs de l’alcool aidant, La jeune femme Ă©clata de rire puis laissa Ă©chapper un Ă©clat de rire
 Oups, tu m’as fait peur ! 
 Moi ? M’aider ? Bien sur que non, je ne me suis jamais sentie aussi
 Aussi bien... Hips 
 Je pourrai gravir le mont Blanc ! »  Elle rit Ă  sa propre plaisanterie, mĂȘme si celle-ci n’était pas forcĂ©ment drĂŽle 
 Ce que sembla songer Orion mais il n’ajouta rien. Il s’approcha de quelques mĂštres, tentant de saisir le bras d’Eurora mais cette derniĂšre se dĂ©roba ... Je pourrai mĂȘme aller sortir dans les rues et chanter Ă  qui veut entendre ! »Elle se sentait libre, pour la premiĂšre fois, libre de toutes contraintes ! C’était certain ! Jamais elle ne s’était sentit la libertĂ© de faire ce qu’elle veut, d’aller oĂč elle voulait 
 Oups, elle tituba, se rattrapant au rebord de la table
 OulĂ , est-ce normal que le sol tangue tant ... On se croirait en pleine mer sur un navire ... Madame, vous devriez vous coucher je crois
 »La silhouette d’Eurora s’immobilisa, puis se retourna lentement
 Un instant, elle sembla recouvrir toute sa raison puis, une lueur effrayĂ©e passa dans son regard, le temps de comprendre ce que dormir signifiait
 Non, dormir je ne veux pas
 Je veux ĂȘtre libre ! Libre de choisir, libre d’aller, libre de 
 De choisir mes dĂ©cisions et Ă  qui je donne mon soutien ! »Elle ne savait trop pour quelles raisons elle avait prononcĂ© ces derniers mots
 Tout se mĂ©langeait dans son esprit, tous les Ă©vĂšnements de ces derniers temps, toutes ces contrariĂ©tĂ©s
 Tout s’était rĂ©uni, concentrĂ©, et tout Ă©tait sortait ce soir lĂ  en mĂȘme ces mots, elle avança tel un chĂąteau branlant en direction de sa porte d’entrĂ©e et alors qu’Orion demeurait sans bouger, et sans savoir ce que le mieux Ă©tait de faire, il l’observa sortir parmi le sombres de la nuit
 Une fois dehors, la jeune PhĂ©nix ne sentit pas mĂȘme la fraĂźcheur saisissante de cette nuit d’étĂ© 
 Sa vision Ă©tait incertaine mais elle ne se demanda mĂȘme pas comment elle parvenait Ă  mettre un pas devant l’autre. Le lendemain, elle aurait certainement une migraine atroce mais pour le moment, elle ne voulait plus penser Ă  rien ! POURQUOI ?!!! » fut sa premiĂšre parole alors qu’elle adressait cet seul mot, plus au ciel qu’à quiconque d’autres. Seul le silence de la nuit lui rĂ©pondit alors qu’il lui renvoyait l’écho de sa propre voix. Elle attendit quelques secondes que ce dernier se tut pour enfin bouger un orteil et descendre les marches de la maison
DĂ©ambulant dans la ruelle, son pied finit par se prendre dans quelque chose ; elle se pencha et maugrĂ©a aprĂšs ces gens qui n’étaient pas mĂȘme capables de ramasser leurs ordures
 C’est alors qu’elle reconnut le visage d’Azphel, les traits de l’un des directeurs de Maison et tout le poids de ses responsabilitĂ©s revint sur ses Ă©paules et Ă©galement ce qu’elle avait ouĂŻe dire de ce qu’on attendait d’elle
 QUI avait Ă©tĂ© crĂ©er le principe selon il Ă©tait "normal" de soutenir ceux avec lesquels on travaillait ?!! QUI que je l'Ă©trangle !!! Personne. EmprisonnĂ©e ce soir par les vapeurs d'alcool, Eurora ne se sentait pas libre de ses opinions et de ses actions... Ce fut l’air fier et dĂ©jĂ  triomphant – Ă  moins que ce soit dĂ» Ă  quelques retouches sur la photo – d’Azphel qui eut raison d’elle et la fit tressaillir, comme saisit d’un lourd pressentiment
 *Des mots ! Que des mots ! * ET POURQUOI devrais-je soutenir forcĂ©ment les personnes avec qui je travaille ?!! Le monde est-il ainsi fait qu’il ne permets pas mĂȘme Ă  l’Homme de faire ce que bon lui semble, de penser ce qu’il veut, de prendre les dĂ©cisions qu’il veut ?!!! »Un tressaillement la saisit, peut-ĂȘtre l’alcool qui coulait dans ses veines en Ă©tait coupable mais aprĂšs qu’un long frissonnement l’eut saisie, elle laissa Ă©chapper une sorte de rĂąle mais au contraire de ce qu’un Ă©tranger aurait pu penser en la voyant ainsi, elle ne tomba pas, Ă©croulĂ©e sur le sol
 Dans sa main, ses doigts se refermĂšrent sur l’affiche, la froissant puis la laissant retomber par terre, en une boule de papier informe. Elle n’y faisait plus garde Ă  prĂ©sent, prit dans ses dĂ©lires amplifiĂ©s Ă  la fois par son dĂ©sespoir et Ă©galement pas les vapeurs de l’alcool circulant dans ses veines qui lui donnait la force cependant de ne pas s’ contraire elle continua d’avancer, telle une somnambule, vacillant de temps Ă  autre sur ses pieds, se retenant quelquefois au mur d’une maison dĂ©crĂ©pite. D’un seul mĂȘme Ă©lan, toutes les injustices et mĂ©saventures dont sa vie avait pu ĂȘtre parsemĂ©e se diluĂšrent dans son esprit, amplifiant cette impression de se sentir comme 
 vidĂ©e. Pourquoi ne pourrait-on pas ĂȘtre maĂźtre de son destin, et de SES pensĂ©es ! Tout simplement car elle voulait ĂȘtre elle-mĂȘme, car elle ne voulait pas se plier Ă  ce que la plupart des gens penserait qu’elle ferait
 A ce qu’ils pensaient qui Ă©tait normal de faire 
 Pourquoi ne pourrait-elle soutenir les gens qu’elle voulait ? Si son statut de directrice l’obligeait ainsi Ă  soutenir forcĂ©ment ceux avec lesquels elle travaillait, alors elle rejetait son insigne, et en mĂȘme temps ses responsabilitĂ©s ! Elle n’en voulait plus, voilĂ  ! Si elle avait un insigne, elle la jetterait au sol et marcherait dessus, l’écraserait jusqu’à ce qu’elle ne soit plus ... Si du moins cela lui impliquait d’effectuer des actes dont elle ne pensait pas un mot ! Vous pouvez me prendre tout ce que j’ai, mais certainement pas ma libertĂ© ». Cette fois, il s’agissait d’un murmure. Un murmure prononcĂ© face au mur contre lequel elle se trouvait. La norme ?!! Pourquoi la norme existait-elle dans la sociĂ©tĂ© ? Il n’y avait pas de normes. Sans crier garde et criant Ă  qui pouvait l’entendre, elle s’écria
 Je soutiendrai ce qui me semblera bon et ce que JE voudrai ! Jamais vous ne m’obligerez Ă  penser comme vous le souhaitez ! JAMAIS !! »Seul le silence lui rĂ©pondit. Dans la nuit, ses paroles lui semblĂšrent vide de sens, tout comme elle avait l’impression que son corps n’était plus empli que d’un vide saisissant 
 A tel point qu’elle en ressentit un vertige atroce..S’aidant d’avec sa main, elle se recula du mur et reprit sa marche 
 Les rues toujours autant silencieuses
 Elle dĂ©chiffra au passage plusieurs affiches pour les Ă©lections ministĂ©rielles dans lesquelles elle donna des coups de pieds dedans
 Marre de ces Ă©lections
Marre de tout ce qu’elle pensait Ă©tait toujours remis en question
 Marre de tout, elle souhaitait oublier tout ! Elle ne sut pas pendant combien de temps elle dĂ©ambula Ă  travers les rues
 Elle ne savait jusqu’oĂč elle marchait ainsi mais elle marchait. Ce qui Ă©tait certain c’était qu’elle montait en altitude ; Ă  plusieurs reprises, elle grimpa des collines qui paraissaient immenses ou alors c’était sa vision troublĂ©e qui les faisait paraĂźtre si immense
 Le dĂ©cor bougeait, aussi
 Beaucoup 
 D’ailleurs, avant d’arriver au sommet, elle trĂ©bucha Ă  maintes reprises
Jusqu’à parvenir Ă  la grotte qui dominait tout le village de PrĂ©-au-Lard devant lequel, en maĂźtresse des lieux, elle se planta telle une statut la reine d’un empire sur lequel elle n’avait plus nulle emprise. JE SUIS LIBRE ? vous m’entendez ?!! LIBRE d’apporter mon soutien Ă  qui JE veux !... soyez VOUS AUSSI AUSSI LIBRE QUE MOI ! »  Elle s’effondra ensuite, Ă  bout de souffle et de forces, Ă  mĂȘme l’herbe. La nuit Ă©tait bien avancĂ©e
 C’est alors que l’amoncellement de tout ce qui occupait son ĂȘtre soumis Ă  diverses forces et tortures extĂ©rieures la fit s’ébranler et laisser les larmes envahir ses yeux et ses joues
Elle avait l’horrible impression d’ĂȘtre invisible
 La sensation de n’ĂȘtre qu’un jouet du destin dont celui-ci s’amusait Ă  jouer de ses Ă©motions, de ses sentiments, de tout d’elle
 Dans l’état dans lequel elle se trouvait, elle ne sentit mĂȘme pas une main lui saisir le bras, la relever puis l’entraĂźner dans le Pop » distinctif du transplanage
 Actarius BrightSerpentard Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]Actarius Bright, le Ven 30 Juil - 1547 Une lĂ©gĂšre implosion de la grotte... Une gerbe de flamme rouge teintĂ©e or... Une plume... Un phĂ©nix et un jeune homme... Perceval venait de se faire tĂ©lĂ©porter par son PhĂ©nix en ce lieu de recueil fort bien reculĂ©; assez pour satisfaire l'envie de solitude de le style de construction de sa maison qui permettait de l'isoler du brouhaha extĂ©rieur, Perceval se retrouvait atteint par les cris de ses voisins... Les seuls qui montaient assez haut dans les aigus pour que leurs voix puissent ĂȘtre entendu par l'hĂ©ritier dĂ©chu des nobles Bright. Actarius Ă©tait Ă©puisĂ©... extĂ©nuĂ©... Lasse de devoir subir, quasiment tout les soirs, l'audition de ses satanĂ©s de voisins moldus qui, jamais, Ô grand jamais, n'Ă©tait fatiguĂ© de se disputer. LĂ , c'Ă©tait monsieur qui disputait sa femme pour une paire de chaussette non lavĂ© -comme s'il n'en possĂ©dait qu'une seule-... AprĂšs, c'Ă©tait madame qui rĂ©primandait monsieur parce qu'il avait omit de ranger sa chaussure dans le placard. C'Ă©tait tout simplement absurde, barbant et purement insupportable!Le sorcier Ă©tait vĂȘtu d'une longue robe noire Ă  l'ancienne -les hommes portaient des robes par le passĂ©, au Moyen-Age-, qui lui tombait tout juste au dessus des chevilles et Ă  laquelle Ă©tait accrochĂ©e une cape tout aussi noire maintenue par une broche d'argent frappĂ©e des armoiries de la famille du jeune homme. Ses longs cheveux noirs de jais, proprement coiffĂ©s et regroupĂ©s dans sa nuque en une fine queue de cheval les cents pas, tournant et encore tournant en rond, Fafnir son phĂ©nix sur ses Ă©paules, Actarius ne faisait pas trĂšs attention, ne surveillait pas ses arriĂšres... Il ne s'attendait de toute façon pas Ă  ce que la grotte dans laquelle il Ă©tait venu se rĂ©fugiĂ© soit le refuge d'on ne sait quel crĂ©ature magique ou d'un quelconque sorcier Ă  l'esprit plus tordu que le sien. Qui aurait la brillante idĂ©e, Ă  part lui, de venir dans un tel lieu par une nuit aussi noire, le ciel Ă©tant dĂ©nudĂ© de la dĂ©esse lune? Certainement une personne dĂ©nuĂ© de bon sens... Ou une personne... comme lui. Enfin, ce n'Ă©tait que des suppositions sans fondements! Il Ă©tait seul dans cette grotte et il Ă©tait pratiquement sĂ»r qu'il ne serait pas dĂ©rangĂ©! Claire WilsonGryffondor Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]Claire Wilson, le Ven 30 Juil - 1807 ASA la maison, tout semblait beaucoup trop calme pour la jeune Amy qui depuis cinq ans Ă  prĂ©sent avait toujours eu l'habitude d'entendre quelqu'un respirer chez elle. Son fils et sa fille Ă©tait partie pour plusieurs jours grĂące Ă  un camp de vacances qui les avaient emmenĂ©s Ă  la montagne au delĂ  des frontiĂšres. C'Ă©tait avec une grande tristesse qu'elle les avaient laissĂ© sur le quai de la gare le matin mĂȘme et elle s'Ă©tait enfermĂ© dans une morositĂ© qui ne lui ressemblait pas. ParticuliĂšrement nerveuse, elle avait Ă  plusieurs reprise dans la journĂ©e laissĂ© Ă©chappĂ© de magnifiques jurons qu'elle avait enfoui au plus profond d'elle depuis la naissance de ses enfants. Elle s'Ă©tait totalement laissĂ© emportĂ©e, se rendant compte qu'elle touchait Ă  nouveau du bout des doigts la perfection de la libertĂ© bien que, pour rien au monde, elle n'aurait changĂ© quelque chose de sa vie actuelle. C'Ă©tait ce qu'elle dĂ©sirait au plus profond d'elle mĂȘme, elle le savait. En faisant le bilan, malgrĂ© de nombreuses erreurs et de remises en questions, l'ancienne Auror semblait plutĂŽt satisfaite du rĂ©sultat final. Lucas, Lola c'Ă©tait tout ce dont elle avait son lit, les yeux ouverts comme jamais, le sommeil n'arrivait pas Ă  venir. Depuis plusieurs heures dĂ©jĂ  la jeune demoiselle tournait et tournait encore dans son lit dans l'espoir que ses yeux se ferment et que, sans s'en rendre compte, elle s'endorme aussi simplement que cela. Mais rien n'y faisait... A croire que les dĂ©mons de la nuit avaient choisis de se liguer contre elle. Se rĂ©signant, Amy se leva, enfila une tenu bateau et sortit de sa chambre. Elle passa devant les chambres de ses enfants et fut parcouru d'un frisson qu'elle dĂ©testait, tout Ă©tait trop calme et le silence monotone la dĂ©rangeait. Elle sortit de chez elle et fut surprise par la douceur de la nuit. Elle ignorait encore oĂč elle se rendait, presque automatiquement, la jeune mĂšre marchait tout droit. ASAu creux de sa main droite, elle tenait sa baguette toujours prĂȘte Ă  ce qu'il lui arrive quelque chose. En tant qu'ancienne Auror elle savait que le danger pouvait ĂȘtre partout. Tout l'avait marquĂ©, tout l'avait plus ou moins blessĂ©, elle Ă©tait Ă©corchĂ©e vive devant la dur rĂ©alitĂ© que pouvait donnĂ© la vie. Les combats, la haine, la violence, tout Ă©tait terminĂ© Ă  prĂ©sent, c'Ă©tait beaucoup trop d'Ă©motion et beaucoup trop dangereux pour ses enfants. MĂȘme si elle avait protĂ©gĂ© sa maison de tout les sorts possible et inimaginable, il Ă©tait hors de question que des reprĂ©sailles quel conque soit fait, voilĂ  pourquoi il Ă©tait prĂ©fĂ©rable de quitter se monde de brute et faire comme ci l'insouciance Ă©tait de retour. Un monde parfait, sans ombre au la jeune femme, une petite grotte. Amy se sentit d'un seul coup submergĂ© par son esprit aventureux. MalgrĂ© tout ce qu'elle essayait de se faire croire, une vie sans dangers n'Ă©tait pas sa vie. D'un "lumos" bien formulĂ©, sa baguette s'Ă©claira et la demoiselle s'engouffra sans hĂ©siter dans les profondeurs rocailleuse qui s'offrait Ă  elle. Son coeur se mit Ă  battre un peu plus fort, un peu plus vite et l'ancienne Auror retrouvait ses vieilles habitudes de femme combattante. Elle avait appris Ă  maitriser son souffle, Ă  maitriser l'adrĂ©naline et Ă  foncer droit devant la tĂȘte baissĂ©. Tellement vite qu'elle ne se rendit pas compte que quelqu'un d'autre Ă©tait dans la grotte. Visiblement le jeune garçon ne l'avait pas vue mais beaucoup trop surprise de croiser quelqu'un dans cette endroit prĂ©sumĂ© dĂ©sert elle ne put s'empecher de lui aboyer dessus "Bordel ! Qu'est-ce que vous foutez ici !" Actarius BrightSerpentard Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]Actarius Bright, le Sam 31 Juil - 321 Depuis un bon moment maintenant qu'Actarius faisait les dix mille pas dans la sombre et froide grotte. De quoi faire pĂąlir le hĂ©ros le plus courageux qui est jamais existĂ© lui mĂȘme. Fafnir, silencieux comme jamais, somnolait tranquillement ses les Ă©paules de son ami et maĂźtre. Enfin, tranquillement est un bien grand mot!Seulement une demie-heure maintenant que Perceval Ă©tait lĂ  avec son PhĂ©nix lorsqu'il fut obligĂ© de sursauter pour on ne sait qu'elle raison. Une voix fĂ©minine, venu de derriĂšre lui voletait au dessus de la tĂȘte. Cette damoiselle devait ĂȘtre fort en colĂšre ou beaucoup trop mĂ©fiante. Quoiqu'il en soit, la main droite sous sa cape, Actarius libĂ©ra l'une de ses baguettes et tendit la main lentement face Ă  la blonde ?, la menaçant de la sienne tout en lui montrant, Ă  travers ce mĂȘme geste, qu'elle n'a pas grand chose Ă  craindre de lui; pas grand chose du pourrai vous retourner la question chĂšre madame. Que faites-vous en un endroit si reculĂ©?!Ce n'est qu'aprĂšs cette phrase qu'Actarius posa rĂ©ellement les yeux sur l'invitĂ©e de derniĂšre minute. Tout en elle exultait la beautĂ©, provoquait le dĂ©sir en Perceval. Il avait connu cela avec une autre... Une jeune fille sortie de chez Serpentard... Était-elle vĂ©lane? Certainement, oui! Elle Ă©tait beaucoup trop magnifique pour ĂȘtre une pure dĂ©esse naturelle; c'est Ă  dire, les autres espĂšces...Qui ĂȘtes vous, trĂšs chĂšre?Si ce n'Ă©tait une VĂ©lane, que pouvait-elle d'autre pour provoquer un si grand trouble dans l'esprit et le cƓur de l'aristocrate? A moins... A moins que ce ne soit, tout simplement lĂ , que la manifestation de la beautĂ© de la gente fĂ©minine. Quel homme pouvait se vanter d'ĂȘtre plus sĂ©duisant et plus agrĂ©able Ă  regarder qu'une femme... comme celle face Ă  Perceval? Sans doute, aucun! Toutefois, c'Ă©tait, mĂȘme si au sens thĂ©orique, de mĂȘmes ĂȘtres, deux espĂšces de vie totalement diffĂ©rentes. Un homme ne pouvait se comparer Ă  une femme et l'inverse non plus ne pouvait ĂȘtre possible. Ainsi allait la pensĂ©e du jeune sorcier...______________Rp tout simplement merdique! J'avais j'ai sommeil P Claire WilsonGryffondor Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]Claire Wilson, le Lun 2 AoĂ» - 1135 ASRĂ©pondre Ă  une question par une autre question. Amy Ă©tait l'une de ces nombreuses personnes qui utilisaient cette tactique afin de ne pas rĂ©pondre Ă  quelqu'un ou a quelque chose de gĂȘnant. Mais lĂ  visiblement, c'Ă©tait son mystĂ©rieux interlocuteur qui s'en servait. De nature trĂšs entreprenante, la jeune femme n'avait pas l'habitude qu'on lui rĂ©siste et qu'on est le dessus sur elle, son statut de VĂ©lane en Ă©tait la preuve vivante, user de ses charmes pour dĂ©stabiliser son adversaire lorsque celui ci Ă©tait un homme lui plaisait particuliĂšrement. Elle ne bougeait pas et le fixait d'un regard Ă  en faire frissonner plus d'un. Ce n'Ă©tait pas un endroit reculĂ©. C'Ă©tait une grotte. Une grotte. Un endroit oĂč normalement personne ne vient y passer du bon temps, et encore moins un endroit ou deux personnes ne viennent y passer du bon temps. Enfin, jusqu'Ă  maintenant la ballade Ă©tait plaisante mais depuis qu'elle avait sa baguette pointĂ© devant le jeune homme, le cĂŽtĂ© touristique de la ballade semblait assez lointain. ASIl semblait dĂ©stabiliser, lĂ©gĂšrement obnubiler par le visage d'Amy qui prenait un malin plaisir Ă  lĂ©gĂšrement se cambrer pour accentuer l'effet produit. Il Ă©tait jeune Ă  premiĂšre vue, il devait avoir une vingtaine d'annĂ©es Ă  tout casser. C'Ă©tait presque mignon de le voir aussi troublĂ©. Il lui demanda Ă  nouveau, plus directement cette fois qui elle Ă©tait rĂ©ellement. Il lui tendit sa main, lentement, comme pour montrer qu'elle n'avait strictement rien Ă  craindre et qu'elle pouvait en faire de mĂȘme Ă  son tour. Il se fourrait le doigt dans l'oeil et bien profond tout de mĂȘme s'il pensait rĂ©ellement qu'elle avait la trouille. Elle avait vue bien pire malheureusement et ce garçon Ă©tait loin du faire peur. Mais malgrĂ© tout, sens de la diplomatie oblige, elle baissa sa baguette tout aussi lentement mais la gardant fermement entre ses doigts. "Amy Swan"ASLança t-elle comme ça. C'Ă©tait pas grand chose, elle aurait trĂšs bien pu mentir et sortir un tout autre nom que le sien comme elle aurait fait d'habitude par prĂ©caution. Pourtant lĂ , c'est tout naturellement qu'elle avait balancĂ© ça comme ça. Dans sa main droite, elle tenait toujours sa baguette et maladroitement elle serra la main de son interlocuteur toujours inconnu jusqu'Ă  maintenant. Elle le regarda droit dans les yeux comme pour appuyer le fait qu'elle savait trĂšs bien qu'elle lui plaisait. Physiquement du moins car pour l'instant les dialogues n'Ă©taient pas trĂšs constructif."Et vous ?" Actarius BrightSerpentard Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]Actarius Bright, le Mer 4 AoĂ» - 246 Perceval se perdait dans un dĂ©dale de pensĂ©e toute plus contradictoire les unes que les autres. Il lui faudrait sĂ©rieusement se revoir... tomber sous le charme d'une dame, qu'en plus il n'avait jamais croisĂ© n'Ă©tait pas concevable. Il ne pouvait se permettre d'Ă©prouver une faiblesse pour les femmes qu'il rencontrait. Surtout pas lorsqu'il rencontrait ladite femme dans une grotte quelque part dans le grand Ouest. Oui, les moldus diraient qu'il avait l'avantage puisqu'il Ă©tait un homme mais en magie, la puissance ne comptait pas sur la force. Elle comptait sur l'expĂ©rience et l'esprit. L'expĂ©rience? Certes, Perceval Ă©tait plus ou moins connaisseur en magie -noire, blanche, grise, mĂ©tisse et tout ce que vous voudrez- mais, le seul fait d'observer l'invitĂ©e surprise lui faisait savoir qu'elle Ă©tait bien plus expĂ©rimentĂ©e que lui. Ne manquerait plus qu'elle soit susceptible! Un mot mal placĂ©, un phrase mal exprimĂ©e et peut-ĂȘtre bien qu'un Avada Kedavra serait pas trĂšs loin...Le jeune garçon, revenant Ă  la rĂ©alitĂ©, rangea sa baguette dans ce qui devait ĂȘtre un Ă©tui, lĂ  oĂč "Ă©tui" devait se trouver. Il loucha rapidement vers la poitrine de la dame en face de lui. Rapidement? Plus vite que "The Flash" ou Speedy Gonzalez! Il prenait soin de se retenir de dĂ©tailler ses formes et ses atouts tout en sachant, pertinemment bien, que la pression qu'elle exerçait sur lui Ă©tait visible Ă  des kilomĂštres Ă  la ronde et qu'elle en Ă©tait parfaitement consciente. D'ailleurs, il, pendant un trĂšs court laps de temps, juste ce qu'il faut pour battre un cil, se maudit en silence. Il se maudit d'avoir un corps beaucoup trop sensible Ă  la beautĂ© fĂ©minine! Si seulement le corps humain pouvait fonctionner sans cƓur... Ca me rappelle un conte ça, pas vous? Soit, Swan? Jolie nom pour une jolie crĂ©ature; Tout se tient! Swan, comme, littĂ©ralement traduit, "Cygne". Eh bien, oui, cette fille Ă©tait un cygne. Un cygne blanc avec tout ce qu'il a de plus gracieux. Sa ou plutĂŽt, ses courbes. Ses longs cheveux blonds ?, chĂątains ?, entre les deux ?, comparables aux longues et fines plumes d'un cygne adulte... Cette femme n'avait rien de comparable. Elle devait ĂȘtre vĂ©lane... Perceval en Ă©tait plus que sĂ»r! Si la vie le lui permettait, il lui poserait la question dans le seul but d'assouvir sa maladroitement qu'elle, il lui serra la main, la relĂącha, puis plongea son regard dans le sien. Le regard qu'elle lui portait le troublait en son ĂȘtre mais il n'allait quand mĂȘme pas se laisser faire. Surtout pas par quelqu'un qui rencontrait Ă  peine! Il se serait peut-ĂȘtre laissĂ© faire s'il la connaissait plus et qui sait...? Soutenant donc son regard sans ciller, l'Ex-Serpentard avala ses deux derniers mots avant de rĂ©pliquer sur ton totalement Bright. EnchantĂ© de faire votre connaissance... Miss ou Mrs Swan?Perceval se força Ă  remettre ses idĂ©es en place, reprit contenance, se fermant -dans la mesure du possible- Ă  toute contemplation de la belle. Fafnir, dĂ©cidant de lĂącher son maĂźtre dans moment pareil, prit son envol, quittant donc son Ă©paule, et s'en alla par l'ouverture de la grotte. Perceval savait que le PhĂ©nix ne serait pas loin et qu'il serait prĂšs Ă  intervenir en cas d'altercation, toujours est-il qu'il Ă©tait un peu inquiet -pour la premiĂšre fois- en se retrouvant face Ă  une femme avec un tel charisme...Dites moi, si je ne me trompes point, vous devez avoir du sang de vĂ©lane. Est-ce faux?Pourquoi lui poser cette question?! C'Ă©tait une maniĂšre de lui avouer l'attirance physique qu'il ressentait pour elle en l'observant! Qu'est-ce qu'il pouvait ĂȘtre idiot parfois... InvitĂ© Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]InvitĂ©, le Sam 11 Sep - 1132 Les deux loups qui leur faisaient face Ă©taient immense, ils paraissaient affamĂ©s, chose qui ravit Will, surement Nymphadora. Ils pouvaient ĂȘtre sur d'une chose, il y allait avoir du sport. Les grognements Ă©taient de plus en plus sonores, aussi bien du cĂŽtĂ© des chiens galleux que du cĂŽtĂ© du vampire, les crĂ©atures Ă©taient prĂȘte Ă  se battre, la seule sorciĂšre prĂ©sente l'Ă©tait Je prends celui de droite, ok ?- Tes dĂ©sires sont des ordres ma la bataille fut lancĂ©, par Nymphadora qui se jeta sur le loup de droite en lançant divers sorts plus destructeurs les uns que les autres, elle faisait preuve d'une habiletĂ©, d'une rage et d'un talent extraordinaire, mieux valait avoir une femme comme ça dans ses rangs que chez ses ennemies, chaque coups, chaque sorts faisaient mouche. Cependant le loup faisait preuve d'une vitesse et d'une agilitĂ© incroyable, le combat serait de son cĂŽtĂ© avait laissĂ© le loup attaquer, ce dernier avait lancĂ© les hostilitĂ©s dĂšs l'instant ou Nymphadora Ă©tait partit se battre. Il Ă©tait monstrueux, affamĂ© et fou de rage, mais cela restait un chien stupide, un ennemi des vampires, Will ne lui ferait aucun cadeau. Lorsque le chien voulu le mordre au visage Will esquiva in-extremis le coup puis lui arracha l'oreille gauche d'un vif coup de canine. Le sang du loup commençait Ă  couler au fond de sa gorge, contrairement au sang humain celui-ci n'Ă©tait pas des plus dĂ©sagrĂ©able gout dĂ©concentra Will l'espace de quelques secondes, se qui suffit au loup pour le mordre profondĂ©ment Ă  l'Ă©paule. La douleur Ă©tait supportable mais cela suffit Ă  rappeler au vampire qu'il n'Ă©tait pas Ă  l'abri d'une fin souvent, lorsque Will Ă©tait touchĂ©, aussi bien son corps que son Ă©go, le vampire perdu son sang froid. En poussant un grognement sauvage il sauta sur le loup la main tendu vers le coup de la bĂȘte qu'il rĂ©ussit Ă  attraper. Ne souhaitant pas abattre la bĂȘte si rapidement Will planta ses canines dans le cou de la bĂȘte puis d'un geste vif arrache tout se qui se trouvait dans sa bouche, le rĂ©sultat n'Ă©tait pas beau Ă  petit geste de la main il essuya le sang qui coulait le long de ses lĂšvres puis se tourna vers Nymphadora pour assister Ă  la victoire de son compĂšre qui ne devrait plus tarder. Le loup qui arriverait Ă  mettre Nymphadora Lupin au tapis ne devait surement pas fouler le sol de cette planĂšte.[Pas terrible mais ces temps-ci l'inspiration n'est pas super ] Re Une cachette appropriĂ©e [La Grotte]Contenu sponsorisĂ©, le Permission de ce forumVous pouvez Vous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum Le Deal du moment Cartes PokĂ©mon oĂč commander le coffret ... Voir le deal € MÉFAITS ACCOMPLISℱ Corbeille &&. ANCIENS RP 3 participantsAuteurMessageAlice BrownNombre de messages 61Maison SerdaigleMessage Perso L'amour est une catastrophe magnifique ; savoir que l'on fonce dans un mur mais accĂ©lĂ©rer quand mĂȘmeAge du Perso 16 ansDate d'inscription 05/11/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Joueur HeureuxFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Everybody's Changing - Libre Mar 6 Nov 2007 - 111 Toujours aller de l’avant
 C’est Ă  la fois une philosophie et une raison d’ĂȘtre. Je ne saurais vous dire pourquoi, ni comment tout ça est arrivĂ© mais c’est arrivĂ©. Quand j’y repense, j’en aie des frissons. Il fallait que je fasse le point, que j’aille de l’avant, que j’imagine ma vie autrement qu’à travers ses yeux. Je ne saurais dire pourquoi, mais c’est ainsi
 Ma vie ne se rĂ©sume qu’à ça, qu’à ce son qui rĂ©sonne entre six cordes, qu’à des paroles susurrer par le passé  Par des photos, des images qui bougent, qui me sourient, qui me dĂ©prime
 »La plume s’était arrĂȘtĂ©e. Le bruit du frottement sur le bout de parchemin s’était stoppĂ© net, faisait place Ă  la froideur de la nuit, Ă  ce silence qu’Alice redoutait tant. La pluie se baladait le long de la fenĂȘtre, les quelques bougies allumĂ©es s’étaient presque Ă©teintes, et le crĂ©pitement du feu ne faisait plus grande impression. La jeune demoiselle contemplait la salle commune de ses grands yeux gris, cherchant un dĂ©tail qui pourrait l’étonner ; mais elle la connaissait par cƓur. Ses moindres coins et recoins, tout ça Ă©tait devenu banal. Pucky avait trouvĂ© le sommeil aux pieds de la jeune Alice, l’air de rien, il s’était endormit paisiblement, Ă©mettant des ronronnements qu’on aurait pu entendre Ă  des kilomĂštres de lĂ . La Lune Ă©tait Ă©carlate, telle une peinture encore fraĂźche qu’on n’osait pas toucher, de peur de tout gĂącher
Ce tableau Ă©phĂ©mĂšre qui est la vie, ce tableau qu’on envisage, qu’on dĂ©visage et puis qu’on jette, parce qu’il est dĂ©modé  C’est ça, le bonheur quelque chose qu’on jette, parce qu’il est dĂ©passĂ©. Alice poussa un long soupir. Elle Ă©tait donc la seule Ă  cette heure ci ? Pourtant, habituellement, les Ă©lĂšves restaient Ă©veillĂ©s jusqu’à tard le soir
 Oui, elle ne comprenait plus rien, Ă  croire qu’elle Ă©tait faites pour tout tenir en Ă©chec. Elle rapprocha soudain sa plume vers son petit bout de parchemin, le trempant dans l’encrier sombre qui Ă©tait dĂ©licatement posĂ© sur la table basse. D’un geste brusque, elle nota un mot
un seul. Hate » BAM ! Son cƓur venait de dĂ©crocher, laissant les larmes couler le long de ses joues blanchĂątres. La jeune demoiselle, Ă  l’apparence d’une poupĂ©e en porcelaine, rapprocha dĂ©licatement ses mains de son doux visage. Elle entendait milles et une voix qui trottinaient dans sa tĂȘte
Des reproches, que ça, partout, et elles ne cessaient d’accroĂźtre. La jeune Alice serra les poings, s’empĂȘchant de crier, mais la tentation Ă©tait trĂšs forte, trop forte mĂȘme
 Mais elle ne devait rien dire, faire semblant, comme tous les jours de l’annĂ©e. Etait-ce si difficile ? Non, bien sĂ»r que non ! Elle Ă©tait habituĂ©e Ă  ne rien dire, Ă  garder tout ça en secret. Son cƓur Ă©tait fermĂ© Ă  doubles tours, oui, c’était connut
Alors pourquoi craquĂ© lĂ , maintenant ? Pourquoi tant de solitude ? Et pourquoi pleurait-elle ? Elle-mĂȘme ne savait pas pourquoi
sans doute le stress. Et quel stress. Ses mains s’étaient mises Ă  trembler d’avantage, mais ça ne l’empĂȘcha pas de reprendre son parchemin Ă  prĂ©sent plein de tĂąches d’encres. Sa plume en main, elle continua, ses larmes perlant toujours autant le long de son visage
 Le fort d’un ĂȘtre, c’est de savoir souffrir
sans ça, il est vouĂ© Ă  l’échec complet. Je ne suis sĂ»rement pas assez forte, mais quand le jour viendra, je dirais tout
mais pour le moment, le jour n’est pas encore venu. »Ses yeux d’un gris Ă©blouissant se remplissaient d’eau. De l’eau qu’on aurait voulut prendre d’un geste, pour qu’elle cesse de pleurer sur l’état du monde, pour qu’elle cesse enfin de souffrir en silence. Mais rien n’y faisait, pourtant on la voyait sourire en mĂȘme temps. C’était de l’ironie
 Stop. Le silence revint alors, plus rien n’aurait pu retenir son attention Ă  part le crĂ©pitement du feu. Plus rien, mĂȘme pas ces voix qui va et venaient
mĂȘme pas ce bruit Ă©trange qui venait de s’interposer entre le ronronnement de Pucky et le scintillement des bougies. En fait, quand on Ă©coutait de plus prĂšs, c’était des bruits de pas. Alice retint alors son souffle, essayant tant bien que mal d’arrĂȘter ses larmes
elle se mit Ă  empoigner le bout de parchemin, puis le froissa dans tous les sens. S’en Ă©tait assez ! D’un geste quasi-immĂ©diat, elle balança la boule » Ă  l’autre bout de la piĂšce
Son coeur battait la chamade, ses yeux Ă©taient fermer, ne voulant pas voir la rĂ©alitĂ© en face tout le monde change. Natalia J. NewberryNombre de messages 22Date d'inscription 05/11/2007Sujet Re Everybody's Changing - Libre Mar 6 Nov 2007 - 159 Natalia restait allongĂ©e sur son lit, incapable de s’endormir, les jambes et les bras croisĂ©s, elle restaient lĂ  inerte, a rĂ©flĂ©chir, ou plutĂŽt a rĂȘver, comme a son habitude. Elle ferma ses yeux quelques instants, faisant disparaĂźtre ses iris bleu, puis les rouvrit calmement, dĂ©cidĂ©ment, elle ne dormirais pas cette nuit. Depuis quelques temps la bleue et argent, Ă©tait prise d’insomnie inexplicable. Elle n’en parlait bien Ă©videment a personne, car elle n’était pas du genre a ce confier. HabillĂ©e d’un short et d’un dĂ©bardeur, par-dessus lesquels, elle enfila une chemise trop grande pour elle, Natalia fit glisser ses pieds sur le cĂŽtĂ©. Au contact de sa peau sur le parquet froid, un frisson lui parcoura le corps tout entier. DĂ©cidĂ©ment, elle n’aimait vraiment pas l’hiver, c’était bien trop froid, pour la jeune Ă©tudiante de Poudlard qui au contraire, aime les beaux jours. Silence. Elle se leva en silence, se dirigeant a pas feutrĂ©s vers la salle de bain. Le dortoir plongĂ© dans l’obscuritĂ©, elle entendait la respiration lente des autres filles avec qui elle le partageait. Lorsqu’elle arriva Ă  l’endroit voulu, elle sortit sa baguette et murmura un vague Lumos » a peine audible. Quoi qu’il en soit, il apparu au bout de sa baguette, une petite lumiĂšre verte, qui l’éclaira assez, pour que Natalia puisse s’emparer du premier Ă©lastique qu’elle trouva, pour ainsi, s’attacher les cheveux en une queue de cheval haute, faite a la va vite. Une mĂšche retombant devant ses yeux, elle la cala derriĂšre son oreille droite, puis se dirigeant a prĂ©sent vers les escaliers, elle mettait sa baguette en direction du sol, pour Ă©viter de marcher sur quelque chose qui ferait du bruit, ou bien qui pourrait la faire tomber. Prenant ensuite la direction de l’escalier en colimaçon, elle entendit toute fois du bruit en bas, et s’arrĂȘta Ă  quelques marches de la fin de celui-ci. D’oĂč elle Ă©tait, elle ne voyait pas encore qui c’était, et si elle tombait sur la prĂ©fĂšte, elle sentait a trois kilomĂštres a la ronde, la leçon de morale a laquelle elle aurait le droit. Silence. Seulement un grattement de plume. Zut. Si cette personne Ă©tait toute seule, elle n’allait pas parler, Ă  moins qu’elle soit folle. Elle s’étira alors du mieux qu’elle pu pour sortir sa tĂȘte et regarder qui s’était. Manquant de tomber, elle provoqua un bruit d’enfer. Une grimace sur son visage, elle releva son regard vers les escaliers, peut ĂȘtre que certains descendrait voir ce qu’il se passait. Puis, elle s’intĂ©ressa enfin Ă  la personne qui Ă©tait prĂ©sente dans la salle A la vue de son amie, Natalia ne pu alors rĂ©primer un immense sourire. Alice. Alice. Ce seul mot, procurait une euphorie en Natalia. Elle. Seulement elle. C’était une longue histoire, une longue amitiĂ©, qui remontait a prĂ©sent Ă  de nombreuses annĂ©es. Effaçant son sourire doucement, elle s’approcha de son amie, la serrant dans ses bras quelques secondes, elle alla s’asseoir dans le fauteuil le plus prĂšs de la cheminĂ©e. Etant une grosse frileuse, elle sortit sa baguette, et le fit battre du tonnerre Ă  l’aide d’un sortilĂšge basique. Se recroquevillant sur le fauteuil, elle entoura ses jambes avec ses bras, puis reposa son regard bleu flamboyant sur son amie, elle se demandait bien ce qu’elle faisait a une heure pareille a Ă©crire dans la salle commune, alors qu’elle aurait pu se faire prendre a tout moment. Mais elle reconnaissait lĂ , le tempĂ©rament d’Alice, si semblable au sien. Toujours prendre des risques, sinon ce n’est pas drĂŽle. Silence. Elle la regarda encore quelque seconde avant de prendre la parole. Alice » Elle marqua une pause. Tu peux me dire ce que tu fabriques ? »Un sourire amusĂ© sur les lĂšvres, la jeune femme connaissait dĂ©jĂ  la rĂ©ponse, elle Ă©crivait ses pensĂ©es, comme toujours. Eternelle rĂȘveuse. Silence. Et si on s’enfuyait toutes les deux dans un autre monde, notre monde, et imagine qu’il serait comme on le voudrait. Oui. C’était gĂ©nĂ©ralement les sujets de conversations des deux Serdaigle. Silence. Elle reporta une derniĂšre fois son regard sur son amie, avant de prendre sa baguette de l’agiter faiblement, et des rubans sortirent alors de celle-ci pour former un seul et unique mot. Dream. » Atreus CalgarNombre de messages 1090Age 31Maison Perso Vous aimeuuuuh ! LTigresse, Evanounette, Stephichou, Jumelle, Meeeeel', Thominou, Maureen... LAge du Perso 17 ansDate d'inscription 17/07/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Modo dĂ©jantĂ© et SpĂ©ciales //Sujet Re Everybody's Changing - Libre Mar 6 Nov 2007 - 321 Brrrr. On s’les gĂšle. Allez, j’me casse. »Nuit. Parc. Atreus. LĂ  encore, ces trois mots rĂ©sumaient bien la situation. L’Irlandais n’avait pu s’empĂȘcher de faire une petite escapade nocturne. Il y Ă©tait accoutumĂ© mais, comme on dit souvent, On ne change pas les vieilles habitudes ». Ses fonctions de prĂ©fet ? Boaf. Pas une raison pour respecter Ă  la lettre le rĂšglement. Si ? Tant silhouette du jeune homme, non reconnaissable dans l’obscuritĂ©, bougea. Elle se mit en marche vers le chĂąteau, prenant garde au sol traĂźtre du parc. Pour un observateur attentif et proche, on pouvait apercevoir un objet dĂ©passant de la ceinture du Serdaigle. Une lame. EnsanglantĂ©. Pas besoin de vous rappeler ce qu’il fait avec. De toute façon, on le devine facilement. Le jeune homme continua son chemin, Ă©clairant son passage du mince faisceau que lui procurait sa baguette. C’était une nuit claire et fraĂźche de Septembre. Le silence de la nuit Ă©tait agrĂ©able. Reposant. MĂȘme le vent se faisait discret. Seul le lĂ©ger bruit Ă©touffĂ© des pas de l’étudiant se faisait entendre. Mais, fatiguĂ© de cet absence de bruit, un hibou lança un hululement sonore qui fit sursauter la silhouette. Tssss. SaletĂ© de volatiles nocturnes. L’élĂšve reprit sa route.+ + + + + + + +Se faisant discret quand il le voulait grĂące Ă  son don, Atreus ne tarda pas Ă  arriver sans encombre devant l’escalier qui menait Ă  sa salle commune. Donnant sans hĂ©sitation la rĂ©ponse Ă  la question habituel du Gardien, un Aigle en bronze, le jeune homme s’engouffra avec joie dans la salle, emmitouflĂ© dans une veste grise. Le feu crĂ©pitait avec tant ardeur qu’il s’en Ă©tonna premiĂšrement. C’est alors qu’il aperçu les deux silhouettes assises auprĂšs du foyer. Elles s’étaient retournaient Ă  son entrĂ©e et l’observaient Ă  prĂ©sent. L’Irlandais n’y prit pas garde dans l’instant et entreprit de se rapprocher de l’ñtre, car il grelottait de froid. Ne pouvant que s’approcher des deux silhouettes, ils se tourna vers elle. C’étaient deux jeunes femmes. Parmi-elles, se trouvait Junie. De mĂȘme annĂ©e que lui, Atreus s’était liĂ© d’amitiĂ© avec cette jeune femme dĂšs le dĂ©but de sa scolaritĂ©. MalgrĂ© leurs caractĂšres diffĂšrent remarquez, Atreus est diffĂ©rent de la majoritĂ© des Serdys, ils s’apprĂ©cient mutuellement. L’autre jeune femme n’était qu’autre que Alice, grande amie de Junie et en SixiĂšme AnnĂ©e. Atreus l’a connaissait bien aussi mais nourrissait moins de liens avec elle. En tout cas, en apercevant leurs visage, le jeune homme eut un sourire. Atreus Junie. Alice. Vous allez bien vous deux ? » Atreus se laissa tomber sur le divan faisant face Ă  la cheminĂ©e mais proche des deux filles et se mit en devoir de rĂ©chauffer ses membres engourdis par le froid. Il tourna la tĂȘte et observa les deux jeunes le bruit du bois qui craquait se faisait entendre. Les ombres des trois Serdaigles valsaient sur les murs. Atreus. Alice. Junie. Trois Ă©tudiants. Une nuit. VoilĂ  le tableau. DerniĂšre Ă©dition par le Mar 6 Nov 2007 - 1411, Ă©ditĂ© 2 fois Alice BrownNombre de messages 61Maison SerdaigleMessage Perso L'amour est une catastrophe magnifique ; savoir que l'on fonce dans un mur mais accĂ©lĂ©rer quand mĂȘmeAge du Perso 16 ansDate d'inscription 05/11/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Joueur HeureuxFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re Everybody's Changing - Libre Mar 6 Nov 2007 - 1305 Ce sentiment avait disparus en quelques secondes. La peur d’ĂȘtre prise sur le fait, d’ĂȘtre dĂ©couverte
 Junie avait fait son apparition, toujours aussi radieuse. C’était automatique chez Alice quand elle voyait son amie sourire bĂȘtement. Elle dĂ©testait ça, mais ne pouvait s’en empĂȘcher. Ah, si vous saviez
 Si vous saviez comme Junie Ă©tait importante pour la jeune Alice. C’était une amie remarquable, et toutes deux Ă©taient trĂšs semblables. La jeune Brown se dĂ©gagea la gorge, touchant dĂ©licatement ses yeux ; mais ça ne servait Ă  rien de le cacher, Natalia saurait qu’elle avait versĂ© quelques larmes
 C’était ça, leur amitiĂ©. ConnaĂźtre l’autre sur le bout des doigts, savoir ce qu’elle ressent sans mĂȘme lui accorder un regard ; ça c’était la vraie amitiĂ©, celle qu’on voit dans les contes de fĂ©es, celle dont on rĂȘve toute sa vie, celle qu’on a peur d’imaginer
 Alice avait eut de la chance ; elle l’avait trouvĂ©. Ca ne collait pas trop dans son caractĂšre de s’attacher Ă  quelqu’un, mais dans le cas lĂ , elle n’avait pas vraiment eut de mal. La jeune Alice avait rencontrĂ© Junie quelques annĂ©es auparavant, et depuis, elles ne se quittaient plus
 Dans un toussotement lĂ©ger, la Serdaigle Ă©couta la voix de son amie. Ce qu’Alice fabrique ? Hum
Junie le savait au fond, car c’était devenu une coutume » pour la jeune Brown ; Ă©crire. Oh
Eh bien, j’écrivais. »Elle eut une pensĂ©e pour la boule de parchemin qui avait voltigĂ© Ă  l’autre bout de la salle commune. Puis elle Ă©metta un bref soupir, le regard gĂȘnĂ©. C’est vrai, et si Junie lui demandait ce qu’elle avait Ă©crit, qu’aurait-elle Ă  rĂ©pondre Ă  part je sais plus » ? Rien, strictement rien
 Mais cette idĂ©e ne fit que lui traverser l’esprit, trop occupĂ©e Ă  regarder l’élĂšve qui venait d’entrer dans la salle commune. Alice ne s’occupa pas trop de lui, pensant que c’était encore un de ces Ă©lĂšves de TroisiĂšme annĂ©e qui cherchait absolument Ă  se faire remarquer – d’ailleurs, vu le bruit, ce n’était pas Ă©tonnant. Mais elle ne tarda pas Ă  comprendre qu’il ne s’agissait d’en aucun cas d’un troisiĂšme annĂ©e, mais plutĂŽt de Atreus Calgar, le PrĂ©fet. Bon, Alice ne le connaissait pas Ă©normĂ©ment, mais d’aprĂšs Natalia, il en valait la peine
 La jeune Serdaigle lui accorda un sourire ravissant, jusqu’à ce qu’il prenne la parole
 A priori, Junie et lui Ă©tait frigorifiĂ© ; Ă  les voir, Alice ressentit un frisson. Maintenant, ils Ă©taient trois. Ca va, ça va
 » mais elle ne pouvait s’empĂȘcher d’avoir un sourire hypocrite en disant ça, puis elle continua sur sa lancĂ©e 
et toi ? »Pas trĂšs crĂ©dible, sĂ»rement. Mais les mots qu’avaient dessiner Junie avec sa baguette venaient de lui rendre l’espoir. DREAM. Elle avait raison, la vie c’est avant tout vivre ses rĂȘves
 Fallait-il pour autant en oublier le principal ? Rester sur Terre, rester sur Terre » la jeune Serdaigle se l’était dit des milliers de fois. Pourtant, rien ne faisait, elle restait dans sa bulle, n’osant plus regarder la rĂ©alitĂ© en face. Elle fut Ă©coeurĂ©e rien qu’à la pensĂ©e d’ĂȘtre apprĂ©ciĂ©e ». Non, c’était impossible
 Son regard se posa Ă©troitement sur Atreus. Quand elle s’en rendit compte, elle n’osa plus bouger un cil, se contentant d’écouter la mĂ©lodie que produisait le crĂ©pitement du feu
 Puis Junie. Elle Ă©tait toujours lĂ , toujours avec cet air rĂȘveur. Alice se sentit pousser des ailes, et comme avait fait son amie un peu plus tĂŽt, elle prit sa baguette et dessina quelque chose dans l’atmosphĂšre. En forme de vapeur, quelques lettres manuscrites firent leurs apparitions. Friends ». Puis sa pensĂ©e revint pour la boule de parchemin, perdue sans raison dans un coin de la salle commune. Mais il lui Ă©tait impossible de dire la vĂ©ritĂ©, sa vĂ©rité  Pas pour l’instant, en tout cas. Imagines toi dans un monde oĂč il n’y a que nous, oĂč tu as des ailes et oĂč les seuls sentiments qui y rĂšgnent sont l’amour et la joie. Imagines ce monde, et appelles moi quand tu l’as trouvé  Appelles moi quand tu auras pris conscience que ce monde, c’est le Paradis. » James Re Everybody's Changing - Libre Mar 6 Nov 2007 - 2206 PRÉCISION - Normalement vous l'appelez Ian vu qu'il n'aime pas se faire appeler James. Et dĂ©solĂ©, j'ai fait un truc pourri -___- DerniĂšre annĂ©e. Nouvelle annĂ©e. C’était carrĂ©ment une partie de son adolescence qui allait bientĂŽt se terminer. De toute maniĂšre, depuis maintenant presque un an, il Ă©tait majeur dans le monde magique. James avait 17 et dans deux mois, il allait en avoir 18. Oh non, il n’avait pas redoublĂ©. Il avait simplement perdu une annĂ©e pour cause qu’il Ă©tait nĂ© en novembre. Mais ça, ce n’était ni de la faute de ses parents, ni de la sienne. De personne en fait. Et puis. On ne va pas Ă©crire tout un texte sur sa naissance, ce n’est pas important. Ian Ă©tait dans son dortoir. Sa baguette Ă©mettait une petite source de lumiĂšre, baguette qui Ă©tait posĂ©e contre la petite table au cĂŽtĂ© du lit. Elle Ă©tait suffisamment forte pour permettre au jeune homme de lire, assez faible pour ne pas rĂ©veiller le reste des septiĂšmes annĂ©es. Mais il en manquait un. Encore. Atreus Calgar. Depuis le nombre d’annĂ©es qu’ils se connaissaient, Ian commençait Ă  trĂšs bien le connaĂźtre. Ils Ă©taient quand mĂȘme assez proches. Le prĂ©fet Ă©tait probablement parti se promener quelque part dans l’école. Plusieurs fois, il Ă©tait venu, mais pas cette fois. Un petit bouquin avait attirĂ© son attention. Durant l’aprĂšs-midi, il Ă©tait passĂ© faire un tour Ă  la bibliothĂšque, comme Ă  son habitude, mais il Ă©tait tombĂ© sur un petit ouvrage bien particulier. Il n’avait pas de titre. La couverture Ă©tait rouge foncĂ©, et on pouvait y voir une sorte de dessin abstrait sur la couverture. Mais quoi ? C’était impossible Ă  dĂ©chirer, et Ian ne l’avait pas lĂąchĂ© depuis. MĂȘme le texte semblait assez complexe. Il n’était rendu qu’à la cinquiĂšme page et encore il Ă©tait mĂȘme pas certain d’avoir tout saisit. C’était un univers spĂ©cial qu’il devait absolument dĂ©couvrir. Il Ă©tait tellement absorbĂ© qu’il n’avait mĂȘme pas vu un autre Ă©tudiant se levĂ© et venir Ă  cĂŽtĂ© de son lit. Ian. » Ian ? » dit-il un peu plus fort. Hum ? » se contenta de dire Ian sans mĂȘme lever un regard. Qu’est-ce que tu fais ? »Le jeune homme s’arracha difficilement de son livre et posa son regard foncĂ© sur son ''ami''. Car oui, ils se connaissaient quand mĂȘme. Je lis. Ça ne se voit pas ? » Tu peux pas aller lire ailleurs ? La lumiĂšre de ta baguette m’arrive directement dans les yeux. »James arqua un sourcil. Ecnore. S’il voulait dormir, il n’avait qu’à fermer les yeux ou se tourner de l’autre cĂŽtĂ©. Le jeune homme haussa les Ă©paules, et referma doucement le livre, avant de sortir de son lit. En fait, les couvertures n’avaient pas Ă©tĂ© dĂ©fais. Il Ă©tait simplement assis, dos contre son oreiller, qui Ă©tait contre le mur. Il portait une paire de pantalon bien normal noir, avec un t-shirt blanc. À la tombĂ©e de la nuit, il avait enfilĂ© une veste bleu foncĂ© et avait mis le capuchon sur sa tĂȘte. Allez savoir pourquoi. Tout portait Ă  croire qu’il ne s’était pas encore changĂ© pour dormir. Bref. Il attrapa sa baguette qu’il Ă©teignit de façon informulĂ©e et sortit silencieusement du dortoir. Il descendit Ă  son tour les escaliers en colimaçon, et s’arrĂȘta dĂšs qu’il eut enlevĂ© le pied de la derniĂšre il eut une impression de dĂ©jĂ  vu. Trois personnes. Atreus. Junie. Alice. Ce n’était pas la premiĂšre fois qu’ils se retrouvaient tous les quatre dans la salle commune. Tenant sa baguette et son livre avec la mĂȘme main, il eut un petit sourire en coin et s’approcha d’un des fauteuils et s’installa aux cĂŽtĂ©s d’Atreus. Bonsoir Ă  tous. »Toujours le capuchon sur sa tĂȘte, il porta son regard sur son ami, toujours ce petit sourire flotta sur ses lĂšvres. Xavier m’a gentiment foutu dehors du dortoir. Encore. » Ce type n'Ă©tait pas tellement apprĂ©ciĂ© d'ailleurs avec tous ses petits caprices. Ce Xavier je-ne-sais-trop-quoi. Natalia J. NewberryNombre de messages 22Date d'inscription 05/11/2007Sujet Re Everybody's Changing - Libre Mar 6 Nov 2007 - 2231 Natalia resta silencieuse un instant. Elle savait qu'avant son entrĂ©e Alice avait versĂ©e quelques larmes, mais elle ne lui fit aucune remarque la dessus, elle savait ce qu'Ă©tait la pudeur, et elle mĂȘme detestait qu'on la force a parler, lorsqu'elle ne le faisait pas d'elle mĂȘme. Laissant alors son regard vagabonder sur les flammes dansantes, elle laissa alors le temps qui lui fallait, a Alice, pour s'essuyer les yeux correctement, et ainsi effacer toutes traces de chagrin de son visage. Lorsqu'elle reposa ses yeux bleu sur son ami, elle afficha un sourire, mais celle ci n'eu pas le temps de lancer un nouveau sujet de conversation, que quelque chose provoquait un bruit d'enfer. Instinctivement, Natalia porta son regard vers le dortoir, mais aprĂšs quelque seconde a scruter cet endroit endormit, elle compris, qu'elle s'Ă©tait trompĂ©e et que le bruit ne provenait pas de lĂ . Silence. Il se rapprochait, soudain, elle vu personne d'autre qu'Atreus, arrivĂ©e dans la salle commune, un air joyeux sur le visage. Encore partie en vadrouille, et il avait oser ne pas en parler a Natalia. En mĂȘme temps, il faut dire que lorsqu'on lance la bleue et argent, on n'arrive plus a l'arrĂȘter pas mĂȘme Atreus, James, Alice, ou bien encore Leslie sa soeur jumelle. Non. Personne. Elle le vit alors se rapprochĂ© des deux amies, a son expression cela ne l'Ă©tonnait guĂšre de trouver Alice et Natalia dans la salle commune a cette heure ci, mais en mĂȘme temps au bout de sept ans, il devait s'y ĂȘtre habituer. Junie. Alice. Vous allez bien vous deux ? » Ca va, ça va
 et toi ? »Natalia ne rĂ©pondit pas tout de suite, elle aimait se faire attendre. Elle vit alors le prĂ©fet de sa maison s'installer dans un fauteui proche du sien, et se rĂ©chauffer grĂące au feu qu'elle avait allumĂ©e quelques minutes a peine auparavant. Puis elle reporta son attention sur Alice. Alors que le mot que Natalia avait tracer, s'ffacer doucement, Alice, elle, en inscrivit un nouveau. c'Ă©tait comme un jeu pour les deux amies, et en mĂȘme temps une façon de s'entrainer pour les sortilĂšges. Elles Ă©taient ce que l'on pouvait qualifer de rĂ©eles sorciĂšres, ne faisant pratiquement rien sans leurs baguette, mĂȘme lacer leurs chaussures. Silence. Se massant doucement le front, elle prit enfin la parole, cassant le silence, bercer par le crĂ©pitement des flammes. Je pĂšte la forme. »L'arrogance de Natalia Ă©tait quelque chose de phĂ©nomĂ©nal, les rĂ©pliques de la bleue et argent cultes. On ne pouvait y Ă©chapper, elle avait toujours le dernier, et surtout, elle avait toujours quelque chose a rĂ©pliquer. Ce qui ne se fit pas attendre. Au regard interrogateur d'Atreus, elle fournit alors trĂšs vite une explication a son sarcasme. J'aime tellement ne pas ĂȘtre conviĂ©es aux virĂ©es nocturnes. Non. SincĂšrement ca m'va droit au coeur. »Fixant Atreus d'un air de dĂ©fi, elle n'eu pas le temps d'entammer une guerre que quelqu'un d'autre faisait son entrĂ©e. Silence. Tournant la tĂȘte, cette fois ci, cela provenait bien des dortoirs. Elle fit alors une lĂ©gĂšre grimace jusqu'a ce qu'elle s'appercoive, que ce n'Ă©tait que James. C'Ă©tait quelqu'un avec qui elle s'Ă©tait rapprochĂ©e dĂšs le dĂ©but de sa scolaritĂ©, et avec qui elle Ă©tait a prĂ©sent Ă©troitement liĂ©es. D'ailleurs, il n'est pas rare qu'elle s'amuse a la titiller en l'appelant James, oĂč alors son jeu favoris est de se faire passer pour Leslie, et que Leslie se fasse passer pour elle. La seule personne qui ai jamais su la reconnaitre, c'est Alice. Mais en mĂȘme Alice, c'est Alice, et elle connait tellement bien Natalia, qu'on comprend qu'elle ne la confonde pas aussi facilement, mĂȘme avec sa soeur jumelle. Silence. Bonsoir Ă  tous. » Jaaaames. Il ne manquait plus que toi. »Ne me demandez pas ce qu'a Natalia ce soir, elle est dĂ©chainĂ©e. La provocation et l'arrogance sont de mise. Mais en mĂȘme temps, cela fait bientĂŽt sept ans qu'Atreus comme James, supporte le caractĂšre arrogant de la jeune bleue et argent, alors une nuit de plus qu'est ce que c'est ? Atreus CalgarNombre de messages 1090Age 31Maison Perso Vous aimeuuuuh ! LTigresse, Evanounette, Stephichou, Jumelle, Meeeeel', Thominou, Maureen... LAge du Perso 17 ansDate d'inscription 17/07/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Modo dĂ©jantĂ© et SpĂ©ciales //Sujet Re Everybody's Changing - Libre Jeu 8 Nov 2007 - 113 Alice - Ca va, ça va
 et toi ? »Atreus - On fait avec
 » Atreus fit un lĂ©ger sourire Ă  Alice tout en apprĂ©ciant avec douceur la bonne chaleur du feu. Le meilleur moyen pour se rĂ©chauffer tiens. AprĂšs un instant de rĂ©flexion avec sa conscience il rectifia sa pensĂ©e. Non. Le meilleur moyen Ă©tait un bon verre d’alcool. Mais faute d’en avoir dans l’immĂ©diat, c’était l’idĂ©al pour l’instant. Le Serdy fixa alors Junie. Hmmm
 Qu’avait-elle encore ? Elle ne lui avait rien dit jusqu’à prĂ©sent. Elle faisait la gueule ? Ca serait pas la premiĂšre fois. On va dire qu’Atreus Ă©tait accoutumĂ© de ses petites renfrogneriez. Il lui arrivait souvent de dĂ©conner sur ça avec Ian. Tiens. En pensant Ă  lui, il Ă©tait sĂ»rement en train de bouquiner encore. Le jeune homme eut encore un p’tit sourire. Une manie de Ian ? On pourrait dire ça. Mais ça empĂȘchait pas Atreus de l’adorer comme un frĂšre. Tout comme il adorait Junie et son caractĂšre. Et Alice avec sa gentillesse et sa mĂ©lancolie. Junie - Je pĂšte la forme. » Atreus eut un lĂ©ger sursaut et observa Junie. AĂŻe. J’vous avez dit qu’il y avait quelque chose qui clochait. AprĂšs sept ans passĂ© en sa compagnie, j’la connaĂźt comme ma sƓur la Junie. L’Irlandais haussa les sourcils et lui lança un regard interrogateur. Il voyait pas du tout ce qu’il avait fait qui pouvait dĂ©plaire la jeune femme. Junie - J'aime tellement ne pas ĂȘtre conviĂ©es aux virĂ©es nocturnes. Non. SincĂšrement ca m'va droit au coeur. » Et merde. VoilĂ  qu’ça recommence. Comment il avait pu ne pas penser Ă  ça ? Atreus leva les yeux aux ciel tout en se retenant de ne pas rire. Combien de fois n’avait-il pas eu Ă  essuyer les rĂ©primandes de la jeune femme pour une vadrouille nocturne solitaire ? Hum. J’ose mĂȘme plus les compter. Sans rien dire, il retroussa les manches de son pull. Ses bras nus apparurent oĂč se dĂ©marquaient de longues estafilades encore humides de sang. Il les prĂ©senta devant la bleu et argent. Lui rendant son regard de dĂ©fi, Atreus reprit la parole, un peu sĂšchement mais toujours d’un ton cynique. Atreus - T’veux vraiment m’accompagner pour m’voir faire ça ? J’croyais que ça te plaisait pas. » Mais avant qu’aucun des trois Ă©tudiants ne puissent parler, un bruit se fit entendre. Atreus se tourna complĂštement pour faire face Ă  l’escalier des dortoirs, prĂȘt Ă  remballer aussi sec tout Ă©lĂšve qui se serait pointĂ©. Quelques bruits de pas. Et Ian apparut. L’Irlandais esquissa un sourire en voyant son pote se ramener, un Ă©ternel bouquin Ă  la main. Il changera jamais. Ian - Bonsoir Ă  tous. »Junie - Jaaaames. Il ne manquait plus que toi. » Atreus ne put s’empĂȘcher d’éclater de rire. Les taquineries de Junie. L’irritation qu’éprouvait Ian Ă  l’évocation de son autre prĂ©nom, James. Fallait dire ce qu’il fallait. Ils lui avaient quand mĂȘme manquer pendant les vacances. Tous. James s’installa aux cĂŽtĂ© de l’Irlandais. Ce dernier se retourna et, ne pouvant s’empĂȘcher de repasser une couche aprĂšs la remarque de la jeune blonde, embrancha sur un ton totalement moqueur. Atreus - Hey. Comment qu’y vas aujourdhui le James ? Bien ou quoi ? » Les lĂšvres retroussĂ©es en un sourire complĂštement stupide mais Ă©nervant, Atreus observa la rĂ©action de son ami. Elle allait pas tarder. Et c’était toujours un grand moment de plaisir. Juste avant que Ian ne rĂ©alise les moqueries, il avait eu le temps de dire discrĂštement Ă  Atreus Ian - Xavier m’a gentiment foutu dehors du dortoir. Encore. » Tssss. Ce Xavier. Un jour, il allait le cogner celui-lĂ . Toujours Ă  rĂąler, se plaindre, gĂ©mir pour des broutilles. Atreus leva les yeux au ciel avant de lui rĂ©pondre, d’une voix exaspĂ©rĂ©e et lĂ©gĂšrement dur Atreus - P'tin. J’te jure, s’il nous refait l’mĂȘme coup que l’annĂ©e derniĂšre, j’vais pas pouvoir me retenir
 » Le jeune prĂ©fet lui lança un regard Ă©loquent et complice avant de se laisser aller contre le divan, levant la tĂȘte vers le plafond. Putain. Il se sentait quand mĂȘme bien lĂ . En osmose avec lui-mĂȘme, entourait de ses amis, sous une agrĂ©able chaleur. Tout ce qu’il fallait. Il sentit soudain un objet lui rentrait dans les cĂŽtes. Il baissa les yeux et lança nĂ©gligemment sa lame sur la table posĂ© Ă  quelques pas de lui. Le jeune homme se renversa une fois de plus sur le dossier moelleux. Passeraient-ils encore une nuit blanche Ă  bavarder tout les quatre ? Possible
 Alice BrownNombre de messages 61Maison SerdaigleMessage Perso L'amour est une catastrophe magnifique ; savoir que l'on fonce dans un mur mais accĂ©lĂ©rer quand mĂȘmeAge du Perso 16 ansDate d'inscription 05/11/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Joueur HeureuxFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re Everybody's Changing - Libre Jeu 8 Nov 2007 - 1900 HRP - DĂ©solĂ©e du truc merdique...Alice esquissa un sourire complice, regardant de droite Ă  gauche, comme ci elle cherchait quelqu’un. C’était habituel, et s’en en devenait maladif cette sensation
celle d’ĂȘtre de trop, de ne jamais rien dire, ce silence renfermant la plus grande souffrance. Elle regardait ses amis, ne pouvant dire quelque chose ; elle Ă©tait comme paralysĂ©e. A force, elle ne regardait mĂȘme plus autour d’elle, sachant par cƓur ce qui allait se produire car c’était sans cesse le mĂȘme scĂ©nario. Elle restait lĂ , figĂ©e, incapable de penser autrement. Alice en devenait pathĂ©tique
 TrĂšs vite, elle posa la main sur son chat, le caressant avec douceur, mais ne pouvant retirer ses yeux des flammes. Les deux autres parlaient, elle les entendait mais n’écoutait rien. Les seuls mots qui en sortirent Ă©taient virĂ©e nocturne
sans moi
 ». Junie aimait ça, et Alice aussi, mais c’était diffĂ©rent. Junie prenait ça comme un dĂ©fi, ou du moins c’est ce qu’avait toujours penser Alice, alors que la jeune Brown en faisait juste pour
respirer. Oui, la jeune Alice Ă©tait trĂšs loin d’ĂȘtre la fille que l’on croit, oui, trĂšs loin. Ses ongles ornĂ©s de vernis rouge laquĂ© se glissaient dans le pelage de Pucky, faisant des va-et-vient incessants. Elle restait silencieuse, encore et encore, se sentant toujours mal, avec cette boule dans la gorge. Elle Ă©tait incapable de faire le moindre geste, ses yeux d’un gris Ă©tincelant formant une barriĂšre entre son esprit et
le reste. S’en Ă©tait trop, et mĂȘme l’arrivĂ©e de Ian ne changea rien Ă  la donne. Elle lui avait fait un sourire, mais rien de plus. Les trois autres s’étaient remis Ă  parler, d’aprĂšs les moindres parcelles de phrases qu’elle captait, ils titillaient Ian en l’appelant James
il dĂ©testait ça. Ses mains tremblaient peu Ă  peu, et dans sa mystĂ©rieuse quĂȘte de solitude, elle avait trouvĂ© les rĂ©pondes ; elle n’était qu’une moins que rien. Ses amis continuant de parler, Alice se leva, l’air de rien, se dirigeant vers l’autre cĂŽtĂ© de la salle commune. Sa petite taille faisant qu’elle pouvait passĂ© n’importe oĂč, elle se faufila derriĂšre un meuble gigantesque, disparaissant de leur vue. Quelques minutes aprĂšs, elle en ressortit, cet air toujours aussi Alicien », une boule de parchemin dans les mains. La jeune Serdaigle le dĂ©froissa, espĂ©rant qu’ils ne l’avaient pas remarqué de toute façon c’était sĂ»rement le cas. C’est vrai, elle Ă©tait trĂšs discrĂšte, mĂȘme si des fois elle avait l’envie d’hurler JE SUIS LA ! » elle ne faisait rien. Repensant tout Ă  coup aux mots qu’elle avait employĂ©s dans son parchemin, elle se rapprocha du canapĂ© oĂč Ă©tait Junie, s’asseyant Ă  cĂŽtĂ© d’elle. D’une traite, elle reprit sa plume, la trempant dĂ©licatement dans l’encre, puis elle se remit Ă  Ă©crire des mots comme la fin », les autres », diffĂ©rents » ou nulle ». C’était un cercle vicieux, un peu comme dans celui oĂč Ă©tait tombĂ© Atreus et sa lame. Alice n’avait rien dit, ne voulant pas lui faire de leçon de moral, et encore moins lui dire qu’elle ne supportait plus de le voir ainsi. A quoi bon fondre en larmes devant eux ? Alice regarde toi, tu es tellement faible
Stop. Elle continua Ă  Ă©crire, ses iris gris se posant quelques fois sur le visage de ses amis. D’un coup, sans savoir pourquoi, elle sortit machinalement
 Atreus, la prochaine fois que tu fais une virĂ©e nocturne, dis le moi
enfin bon, si tu veux bien de moi, bien sĂ»r »Miracle, elle avait su dĂ©crochĂ© une phrase, et sans se forcer. La jeune Alice n’osa mĂȘme plus relever la tĂȘte, faisant toujours semblant d’écrire. D’ailleurs, ce qu’elle avait Ă©crit n’avait aucun sens
 Des phrases incomprĂ©hensibles, remplissant le parchemin d’une encre noire tellement sombre qu’on aurait penser Ă  du sang. Le crĂ©pitement des flammes faisait qu’elle n’entendait plus le ronronnement de Puck’, ce qui ne la rassura pas. Elle aimait le sentir Ă  ses cĂŽtĂ©s, elle se sentait en sĂ©curitĂ©, prĂȘte Ă  braver milles et une Ă©tapes, milles et un dangers
 Mais finit, son silence Ă©tant rompu, elle jeta sa plume au niveau de l’encrier, se fourrant dans le canapĂ© moelleux. Son regard, en prioritĂ©, se dirigea vers la direction de Junie. Elle lui adressa un sourire, incapable de lui dire ne serait-ce qu’une petite phrase. Mais le silence n’est-il pas le plus criant des mots ? Il sait dire tout Ă  la fois, sans qu’on prenne la peine d’ouvrir la bouche, sans qu’on prenne la peine de tout gĂącher
 Boom-Boom. Son cƓur battait la chamade, comme d’habitude. Alice Ă©tait trop nerveuse, trop mĂ©lancolique et bien trop gentille et seule » comme dirait si bien l’homme de PrĂ©-au-Lard
 Levant les yeux au ciel pour empĂȘcher ne serait-ce qu’une larme de couler, elle soupira doucement, ne voulant pas dĂ©ranger leur fabuleuse conversation. Xavier, Xavier, Xavier
 Alice avait eut l’occasion de lui parler une seule fois, et il avait fait tout pour qu’elle comprenne qu’elle ne valait rien, qu’elle Ă©tait bĂȘte, moche, sans cƓur et
passons les dĂ©tails. Xavier Ă©tait un garçon narcissique, et Alice se demandait comment faisait Ian et Atreus
Ils Ă©taient courageux. Je compatis »Elle avait lancĂ© cette phrase avec un fond moqueur, mais sans le faire voir rĂ©ellement. Ses yeux gris brillants comme un miroir, elle fit volte face et regarda en direction de Ian, lui adressant un sourire des plus chaleureux. Ouais, on l’aimait bien pour ces sourires, Alice. Mais pour rien d’autre
c’était de sa faute. James Re Everybody's Changing - Libre Jeu 8 Nov 2007 - 2206 - Ça, c'est un truc merdique T__T Jaaaames. Il ne manquait plus que toi. » Hey. Comment qu’y vas aujourdhui le James ? Bien ou quoi ? »Oh. Il avait bien essayĂ© de ne pas y faire attention. Mais quand ils Ă©taient au moins deux, c’était un peu moins Ă©vident. Ça faisait des annĂ©es, et des annĂ©es, plus prĂ©cisĂ©ment sept ans qu’il leur disait de ne pas l’appeler James, et pourtant, le message ne semblait pas s’ĂȘtre rendu aux oreilles de Junie et d’Atreus. Encore moins eux. Ils trouvaient mĂȘme ça drĂŽle. Regardez juste le sourire d’Atreus en ce moment mĂȘme. Sans rire. MĂȘme Xavier avait compris. Bon. Lui, fallait croire que Ian l’avait peut-ĂȘtre un peu forcé  Inutile de savoir comment. La seule qui prenait encore le soin de l’appeler Ian, Ă©tait Alice, et le jeune homme lui en Ă©tait trĂšs reconnaissant. L’anglais serra lĂ©gĂšrement les dents sans que ça paraisse, une lĂ©gĂšre lueur d’agacement passa dans son regard foncĂ© et se contenta d’écouter la rĂ©ponse du jeune irlandais, Ă  propos de celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom-car-ça-nous-fait-vomir. xD Mais juste avant, il remarqua qu’Alice s’était Ă©clipsĂ© le temps de quelques secondes, pour en ressortir avec un boule de papier, mais il n’en dit pas moins. P'tin. J’te jure, s’il nous refait l’mĂȘme coup que l’annĂ©e derniĂšre, j’vais pas pouvoir me retenir
 »À son tour, un petit sourire en coin apparu sur les lĂšvres du septiĂšme annĂ©e. Quand les deux jeunes hommes s’y mettaient ensemble, rarement on revenait pour continuer Ă  les agacer. Xavier a lui tout seul devait ĂȘtre le garçon le plus narcissique de Serdaigle. Il se prenait carrĂ©ment pour un prince. Il ne fallait pas que ça soit trop ci. Il ne fallait pas que sa nourriture soit trop froide. Il fallait toujours qu’il y ait quelqu’un Ă  son service. Et surtout, il ne fallait pas dĂ©ranger MONSIEUR durant ses prĂ©cieuses heures de sommeil, oh ! Ian suivit du regard son pote qui lançait sa fameuse lame ensanglantĂ©e de son ami sur la table. Mille et une fois, il avait tentĂ© de l’aider, mais ça l’avait Ă©tĂ© sans succĂšs. Soupirant, il jeta un regard vers Junie et Alice, puis, se tourna vers Atreus, poursuivant sa lancĂ©e. Tu t’souviens dans le cours de potion ? Monsieur avait refusĂ© de couper ses propres ingrĂ©dients parce que Monsieur ne voulait pas s’tĂącher les mains
 » Le jeune homme passa une main dans ses cheveux, ce qui fit tomber le capuchon sur ses Ă©paules. Il se mit Ă  faire tourner le petit livre entre ses mains, observant chacun de ses amis. Ils Ă©taient tous rĂ©unis autour du feu, chacun installĂ© sur un fauteuil. Atreus et Ian d’un cĂŽtĂ©. Junie et Alice de l’autre. N’étaient-ils pas un beau petit groupe ? Deux gars, deux filles. Leur petit rassemblement noctune. Je compatis »Le bleu et argent tourna son regard foncĂ© vers la sixiĂšme annĂ©e. C’était lui, qu’elle regardait. Il lui rendit doucement son sourire, avant d’hausser les Ă©paules. Cette annĂ©e, ils ne se laisseraient pas faire. Mais pas du tout. Ça, il aurait pu le jurer haut et fort. Xavier s’en donnait Ă  cƓur joie de parler contre tout le monde. Alice ne leur avait rien dit, mais Ian savait pertinemment qu’elle avait eu Ă  faire avec lui. Combien de fois Xavier en avait-il parlĂ© durant les cours de Ian et cie ? Si ça n’aurait pas Ă©tĂ© d’un minimum de contrĂŽle, Ian lui aurait facilement parlĂ© Ă  deux pouces du visage. Ce type allait dĂ©cidĂ©ment trop loin. Pourtant on se demandait bien ce qu’il faisait chez les Serdaigle, Ian ne lui avait jamais trouvĂ© la moindre parcelle d’intelligence dans ce qui pouvait lui servir de cerveau. Silence. Changement de sujet. Mais il ne savait pas trop quoi dire. Il tourna son regard vers les flammes, Ă©coutant le silence. Il se pencha lĂ©gĂšrement pour lancer le petit livre rouge sur la petite table qui se trouvait au cĂŽtĂ© d’Atreus. Étrangement, le bouquin ne fit pas de bruit et se contenta de glisser sur la table. Il arrĂȘta son chemin lorsqu’il percuta la lame et sans plus. Ian se replaça contre le dossier. En ce moment mĂȘme, Atreus et lui, faisait un duo d’enfer. Les deux mecs Ă©craser dans leurs coussins
 Il se contenta de lancer sa baguette dans les airs et de la rattraper. Lorsqu’elle Ă©tait dans la hauteur, sa baguette faisait quelques cercles, et retombait dans la main du bleu et argent. C’était une de ses nuits oĂč il pouvait parfois se passer de nombreux silences. Personne ne disait rien et d’un cĂŽtĂ©, c’était peut-ĂȘtre mieux ainsi. Qui allait ĂȘtre le prochain Ă  briser ce moment silencieux ? Natalia J. NewberryNombre de messages 22Date d'inscription 05/11/2007Sujet Re Everybody's Changing - Libre Sam 10 Nov 2007 - 1813 Natalia vit Atreus soupirer, et lever les yeux au ciel. Elle le fixa alors de son regard bleu tel l'ocĂ©an, elle ne comprenait pas qu'il ne lui dise pas qu'il allait faire une vadrouille dans Poudlard la nuit. C'Ă©tait ce gĂ»t de l'adrĂ©naline, de la peur, de la fuite, qui plaisait tant a Natalia. Le fait de se rendre compte que l'on ai vivant. Silence. Elle ne dĂ©crocha pas un seul regard, jusqu'a ce que celui ci pose un couteau ensanglantĂ© sur la table qui se trouvait devant eux. Silence. Du sang. Son sang ? Elle eu la rĂ©ponse a sa question pas plus de quelques secondes plus tard, lorsque Atreus releva les manches de son pull, et qu'elle vit alors de longues et fines coupures sur ses avant bras. Il avait recommencer. Il lui avait pourtant promis. Silence. Elle lui adressa alors un regard noir, mais avant qu'elle ai pu riposter, Ian avait fait son entrĂ©e a son tour dans la salle commune. Puis tout s'enchaina trĂšs vite, instinctivement, elle reporta son regard sur Alice, lui adressant un regard doux, et un sourire chaleureux. Silence. Elle ne comprennait tout ce qui se passait, elle Ă©tait dans ses pensĂ©es, Natalia le voyait bien. Silence. Elle n'en dit pas un mot cependant jusqu'a ce que la conversation reprenne son fil. Elle vit que les deux jeunes se plaignaient de quelqu'un. P'tin. J’te jure, s’il nous refait l’mĂȘme coup que l’annĂ©e derniĂšre, j’vais pas pouvoir me retenir
 »Natalia fronça les sourcils, elle ne voyait pas encore de qui il parlait, mais rien que le fait qu'il parle de se battre, elle detestait ça. C'Ă©tait tellement puĂ©rile pour elle d'en venir au mains quand on avait la parole, mais soit, les garçons ne rĂ©flĂ©chissent pas comme les filles c'est bien connu. Elle ne rajouta rien, essayant de trouver de qui il parlait. Tu t’souviens dans le cours de potion ? Monsieur avait refusĂ© de couper ses propres ingrĂ©dients parce que Monsieur ne voulait pas s’tĂącher les mains
 » Toutes ces paroels commencaient a faire leurs petit bout de chemin dans le cerveau de Natalia. A prĂ©sent, elle voyait de qui il parlait. Xavier. Qui d'autre pouvait ĂȘtre aussi chiant ? Elle ne comptait mĂȘme plus le nombre de fois oĂč, il lui avait demander d'explorer son lit, alors qu'elle allait voir James et Atreus dans leur dortoir. A chaque fois ca terminait de la mĂȘme façon, celle ci soupirait lui explicait que mĂȘme si c'Ă©tait son seul choix, elle prĂ©fĂ©rait se faire lesbienne, puis celui ci devennait grossier, et soit Atreus soit James, finissait par lui cogner dessus. Je compatis »Natalia afficha alors un regard compatissant a Alice. Elle l'avait retrouver dans un de ses Ă©tats ce jour lĂ . Elle avait Ă©tĂ© tellement en colĂšre qu'il parle comme ca a sa meilleure amie, a son Alice, qu'elle Ă©tait montĂ©e directement dans le dortoir et lui avait collĂ©e sa main sur sa joue. C'Ă©tait la seule et unique fois dans sa vie que Natalia avait portĂ©e la main sur quelqu'un. Silence. Elle se leva alors pour se rapprocher du feu. Mettant ses mains a quelques centimĂštres des flammes, elle retourna sa tĂȘte vers ses trois amis avant de prendre a son tour la parole. Quel con. J'le deteste, et le pire c'est qu'il croit que je suis sa pote. C'est toujours Junie chĂ©rie par lĂ , ma Junie par ci. Et a chaaaaque fois, il faut que je lui rĂ©pĂšte, que moi c'est Natalia. »Elle soupira et montra un air exaspĂ©rĂ© sur son visage, avant d'exploser de rire. Silence. Une Natalia en colĂšre, ce n'est vraiment pas quelque chose de positif pour la personne qui est dans son champs de mir. Atreus CalgarNombre de messages 1090Age 31Maison Perso Vous aimeuuuuh ! LTigresse, Evanounette, Stephichou, Jumelle, Meeeeel', Thominou, Maureen... LAge du Perso 17 ansDate d'inscription 17/07/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Modo dĂ©jantĂ© et SpĂ©ciales //Sujet Re Everybody's Changing - Libre Dim 11 Nov 2007 - 205 Atreus avait sentit la lĂ©gĂšre tension de Junie lorsqu’il lui avait montrĂ© ses bras mutilĂ©s. Oui. Je sais. Ca ne lui plaisait pas. Ni d’ailleur Ă  Ian et Alice. Il le savait. Il avait entendu leurs paroles d’aide et leurs essais de le convaincre d’arrĂȘter. Et voilĂ  comment il remerciait ses amis en continuant. T’es vraiment qu’un sale con Atreus. » Il l’entendait cette voix dans sa tĂȘte. Il l’entendait mais ne faisait rien. C’était plus fort que lui. C’est tout. Une sorte d’addiction Ă  la scarification. Mais en voyant ses mais Ă  ses cĂŽtĂ©s, Alice, Junie, Ia,, il sentit vraiment le pincement au cƓur qui apparut. Il baissa la tĂȘte doucement et son regard mĂ©lancolique se perdit dans l’ocĂ©an des flammes. La voix d’Alice le sortit de sa torpeur - Atreus, la prochaine fois que tu fais une virĂ©e nocturne, dis le moi
enfin bon, si tu veux bien de moi, bien sĂ»r » L’Irlandais sourit doucement avant mĂȘme de tourner la tĂȘte vers elle. Il lui adressa un regard chargĂ© de tendresse, d’affection avant de lui rĂ©pondre. Atreus - Pas d’problĂšme Alice. T’sais bien que je pourrai pas te dire non. » - Il dĂ©tourna le regard vers Junie, tout en gardant son lĂ©ger sourire - Tu pourras nous accompagner Junie. Toi aussi Ian. Nan vraiment j’voulais ĂȘtre seul ce soir pour
 Pour c’que vous savez. Vous n’aurez pas apprĂ©cier ça de toute façon. » La voix du Serdaigle se tut. Silence. Il regarda ses coupure Ă  la lueur du feu. Les plaies brillantes Ă©taient nettement visible. Soudain, tout lui parut stupides. C’était vrai. Il fallait le dire. C’était complĂštement con ce qu’il faisait. Sa conscience tordu et maligne choisit bien-sĂ»r ce moment pour lui faire rappeler le bonheur que cela procurait. Oui. Ca aussi c’était vrai. Une fois de temps en temps. Seulement. C’était ça qu’il devrait faire. C’est ce qu’il lĂącha sans prĂ©ambule. Atreus - J’vais me calmer de ce cĂŽtĂ©-là
 Pour vous. » Atreus Ă©tait conscient qu’il aurait du prendre cette dĂ©cision depuis des annĂ©es. La volontĂ©. C’était ça qu’il l’avait empĂȘchĂ©. La volontĂ© d’arrĂȘter ne lui Ă©tait jamais venu. Jamais. MĂȘme pas pour eux. Il secoua la tĂȘte doucement. Allez. On oublie ça. La soirĂ©e Ă©tait belle, agrĂ©able. Il n’avait aucune envie de plomber l’ambiance avec ses petits problĂšmes merdiques, sans intĂ©rĂȘts. La discussion Ă©tait en c’moment sur Xavier. Ce connard. Ian Ă©voquait le cours de potion. Tsss. A ce souvenir, mĂȘme sa mĂ©lancolie passagĂšre disparu. Comment qu’il le dĂ©testait c’gars. Ce dernier s’en apercevait bien mais persistait Ă  toujours faire son grand ». Combien de fois Ian et lui l’avait cognĂ© ? Il se tenait tranquille envers eux mais voilà
 A chaque fois il remettait ça sur n’importe qui. MĂȘme Alice y avait eu droit. Ce jour-lĂ , le trio Ian-Junie-Atreus avait eu du mal Ă  ne pas l’écorcher vif. L’Irlandais s’aperçu qu’il avait serrĂ© les poings, les jointures nettement visible et blanche. Il desserra ces derniers avant d’entendre Junie profĂ©rait sa colĂšre, elle-aussi contre Xavier. Junie - Quel con. J'le deteste, et le pire c'est qu'il croit que je suis sa pote. C'est toujours Junie chĂ©rie par lĂ , ma Junie par ci. Et a chaaaaque fois, il faut que je lui rĂ©pĂšte, que moi c'est Natalia. » Le ton tellement exaspĂ©rĂ© de la jeune femme fit naĂźtre un sourire sur le visage d’Atreus. Junie et ses rĂ©actions crĂ». Il l’adorait. Fallait dire aussi que leur caractĂšre Ă©taient lĂ©gĂšrement semblables. Autant elle ne passait pas aux mains comme le faisait trop souvent l’irlandais, elle n’était pas la derniĂšre Ă  dire ce qu’elle pensait. Bref. Le silence avait repris ses aises. Voulant changer de sujet, sachant pertinemment que si ça continuait comme ça il pourrait pas s’empĂȘcher d’aller frapper l’autre con de Xavier, Atreus avisa le bouquin qu’avait jetĂ© Ian sur la table, prĂȘt de sa lame. Un regard interrogatif sur la couverture unie et nue, avec seulement une sorte de dessin Ă©trange. Avec un air intĂ©ressĂ©, il montra de la tĂȘte le livre Ă  James. Atreus - Ca traite de quoi ton bouquin Ian ? Bon. Ce n’était peut-ĂȘtre pas le mieux Ă  demander pour changer de sujet mais c’est tout ce qu’il avait trouvĂ©. De plus, le motif du bouquin l’attirait. Étrangement
 Alice BrownNombre de messages 61Maison SerdaigleMessage Perso L'amour est une catastrophe magnifique ; savoir que l'on fonce dans un mur mais accĂ©lĂ©rer quand mĂȘmeAge du Perso 16 ansDate d'inscription 05/11/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Joueur HeureuxFacultĂ©s SpĂ©ciales //Sujet Re Everybody's Changing - Libre Dim 11 Nov 2007 - 1253 Comment expliquer ça ? Qu’en si peu de temps, qu’en quelques secondes, Alice s’était mise Ă  sourire. C’était son premier vrai » sourire de la soirĂ©e, et elle sentait que ça n’allait pas ĂȘtre le dernier. Ian lui lança un sourire, qu’elle lui rendit immĂ©diatement. Puis Atreus prit une bonne rĂ©solution, qu’il n’avait pas prise avant se calmer. La jeune Serdaigle lui lança un sourire, elle savait qu’il y arriverait, et de toute façon, elle serait lĂ  pour l’épauler
tous serait lĂ  pour l’aider. Et puis ils se remirent Ă  parler de Xavier
 Alice Ă©tant la plus petite des Quatre, il avait facile Ă  lui pourrir l’existence. Un jour, il avait mĂȘme rĂ©ussit Ă  la bloquer dans un coin pour lui dire ses quatre vĂ©ritĂ©s, forçant un peu trop au goĂ»t d’Alice sur les mots tu viendras dans mon lit » et t’es vraiment nulle ». Mais la jeune SixiĂšme AnnĂ©e ne s’était pas laissĂ©e faire, elle lui avait simplement foutus une gifle, histoire qu’il se calme un peu. Depuis, elle avait plus le droit aux menaces et aux regards noirs, mais maintenant, elle Ă©tait habituĂ©. Il avait sĂ»rement raison elle Ă©tait bonne Ă  rien, mais la seule chose qui Ă©tait sĂ»re, c’est que quoi qu’il dise, il avait toujours Junie, Atreus et Ian sur le dos – ce qui Ă©tait toujours marrant, d’ailleurs. Soupirant rien qu’en y repensant, la jeune Brown Ă©couta attentivement la phrase de sa meilleure amie. En quelques secondes, Alice s’était mise Ă  rire, un rire presque inaudible qu’on remarquait grĂące Ă  son sourire. Pour l’enfoncer encore plus, ça, Junie Ă©tait toujours lĂ  ! Elle non plus ne pouvait pas le voir en peinture, pourtant, c’était loin d’ĂȘtre rĂ©ciproque
 Un jour je l’ai surpris en train de dire "Junie ? Je vais me la faire avant la fin de l’annĂ©e !" Ce type est tellement bĂȘte qu’il ne voit mĂȘme pas que personne ne l’aime, mĂȘme ses propres amis ne peuvent pas le voir
 Et j’en sais quelque chose, j’ai eut l’occasion de parler avec Jesse, et il m’a dit qu’à chaque fois que Xavier m’insultait, il me dĂ©fendait. Et vous saviez que son ancienne petite amie l’a trompĂ© avec Peter, son sois disant grand ami ?! Quand on me l’a dit, j’étais plié  C’est la preuve que, quand mĂȘme, on n’est pas les seuls Ă  ne pas pouvoir le voir en peinture. D’ailleurs, ce type, je me demande comment il a pu sortir avec des filles
Rien qu’en y pensant, ça me donne envie de vomir. »Les rumeurs et les comĂ©rages. Ca, s’était le domaine d’Alice et Junie. Bon, sĂ»rement pas de Ian et d’Atreus, mais des fois il y en avait des trĂšs drĂŽle qui circulait. Tout en regardant Junie, la jeune bleu et argent frissonna. Il faisait chaud, oui, surtout grĂące au feu mais il y avait toujours un petit courant d’air glacial
 Il Ă©tait tard, mais la fatigue ne se fit pas ressentir. Ses yeux gris Ă©taient encore grand ouverts, se posant sur tout et n’importe quoi. Elle repensait Ă  Atreus qui lui avait dit, quelques minutes plus tĂŽt, qu’il ne pourrait pas lui dire non pour une virĂ©e nocturne. Elle s’imaginait dĂ©jĂ  y aller avec eux depuis la rentrĂ©e, elle n’en avait fait que deux. Habituellement, c’était rare quand elle n’en faisait pas, mais lĂ , c’était carrĂ©ment le contraire. Mais stop, elle verrait ça demain en se levant. Il ne fallait pas gĂącher ce si bon moment. Le silence s’imposa durant quelques secondes, des secondes oĂč le cƓur de la jeune Alice battait la chamade. Ses mains tremblaient, puis s’arrĂȘtaient, puis elle recommençaient
c’était un cercle vicieux, et elle ne savait pas quel Ă©tait la cause de ses tremblements soudains. Mais elle cessa d’y penser qu’en la voix d’Atreus retentit. Il cassa le silence avec douceur, surprenant la jeune Alice, qui ne s’en doutait pas. Le regard Ă  prĂ©sent dirigĂ© vers Atreus, elle l’écouta, comme les autres. Ca traite de quoi ton bouquin Ian ? »La jeune Brown dirigea immĂ©diatement son regard vers le livre de Ian. Sa couverture Ă©tait Ă©trange, avec une inscription qui capturait votre regard en quelques instants. Sa couleur unie vous scotchĂ© sur votre canapĂ©, oui, c’était sĂ»r ce livre attirĂ© l’Ɠil. A sa vue, Alice se dit qu’elle devrait passĂ© plus souvent de temps Ă  la BibliothĂšque. C’est vrai ça, elle n’y allait jamais Ă  part quand elle devait y rejoindre quelqu’un, mais Ă  chaque fois qu’elle y mettait les pieds, elle Ă©tait forcĂ©e. Sourire. Alice se tourna vers Junie, puis vers Puck’ qui ronronnait toujours autant sur ses genoux. A prĂ©sent, elle se voyait trĂšs mal dormir comme lui, surtout maintenant
 James Re Everybody's Changing - Libre Sam 17 Nov 2007 - 2206 HRP _ DĂ©solĂ© du retard. Quel con. J'le deteste, et le pire c'est qu'il croit que je suis sa pote. C'est toujours Junie chĂ©rie par lĂ , ma Junie par ci. Et a chaaaaque fois, il faut que je lui rĂ©pĂšte, que moi c'est Natalia. »Le Serdaigle fixait Natalia de son regard foncĂ©, un lĂ©ger sourire sur les lĂšvres, suite au comportement de cette derniĂšre. Ce type avait vraiment le don de se mettre les pieds dans les plats, et malheureusement, il se heurtait souvent Ă  des personnes plus fortes que lui. Pourtant le message ne semblait jamais se rendre au cerveau du fait qu’il ne fallait pas se moquer de Atreus, James et Natalia en particulier. C’était probablement ceux qui n’avaient aucunement peur des consĂ©quences qui pouvaient y avoir s’ils osaient touchĂ©s Xavier. Il Ă©tait une sorte de dĂ©fouloir au final
 Bref. Les deux bleues et argents, Natalia et Alice s’étaient mis Ă  rire, et Ian observa la sixiĂšme annĂ©e lorsqu’elle prit la parole. Un jour je l’ai surpris en train de dire "Junie ? Je vais me la faire avant la fin de l’annĂ©e !" Ce type est tellement bĂȘte qu’il ne voit mĂȘme pas que personne ne l’aime, mĂȘme ses propres amis ne peuvent pas le voir
 Et j’en sais quelque chose, j’ai eut l’occasion de parler avec Jesse, et il m’a dit qu’à chaque fois que Xavier m’insultait, il me dĂ©fendait. Et vous saviez que son ancienne petite amie l’a trompĂ© avec Peter, son sois disant grand ami ?! Quand on me l’a dit, j’étais plié  C’est la preuve que, quand mĂȘme, on n’est pas les seuls Ă  ne pas pouvoir le voir en peinture. D’ailleurs, ce type, je me demande comment il a pu sortir avec des filles
Rien qu’en y pensant, ça me donne envie de vomir. »Si l’on sort du contexte de MĂ©faits Accomplis. J’aurais pu vous dire que Xavier Ă©tait le portrait crachĂ© de Malefoy, mais Ă  Serdaigle. Prenez ce comportement et transposĂ© le sur Xavier et ça reviendra au mĂȘme. Retournons au RP Ă  prĂ©sent. Un nouveau sourire apparu sur les lĂšvres du septiĂšme annĂ©e, avant d’échanger, Ă  nouveau, un air complice avec son ami, Atreus. En effet, les potins n’étaient pas spĂ©cialement le domaine des garçons, mais les rumeurs circulaient toujours aussi rapidement dans l’école de sorcellerie. Ian n’était pas le type qui allait en raconter, mais plutĂŽt Ă©couter. Par exemple, lorsqu’il attendait quelqu’un dans les couloirs et qu’un groupe de personnes prĂšs de lui parlent de quelque chose qui pouvait s’avĂ©rer intĂ©ressant, il Ă©coutait. Sinon, sans plus. Savoir qu’untel ou untel Ă©tait sortit lui ou l’autre, au final, ça ne changeait strictement rien Ă  sa vie. Mais savoir que Jesse dĂ©fendait Ă©galement Alice, eut une sorte d’effet de soulagement pour le septiĂšme annĂ©e. Pour ce qui Ă©tait de Peter
 Sans commentaire. James tourna, Ă  son tour, le regard vers les flammes, se sentant bien. Parler entre eux, Ă©tait toujours bien agrĂ©able. Sortant un peu de l’habituel Ă©touffant de tous les Ă©lĂšves en plein jour. La nuit Ă©tait une sorte de refuge pour plusieurs. Ca traite de quoi ton bouquin Ian ? »Hum
 Hein ? Quoi ? Ian se redressa lentement et posa, comme tous les autres apparemment, sur son propre bouquin. C’était vrai qu’il Ă©tait Ă©trange, et c’était bien ça qui obsĂ©dait le bleu et argent. Il y avait quelque chose de pas normal, mais il n’arrivait pas Ă  trouver quoi. Et ça, ça l’énervait. Je ne sais pas trop
 C’est assez complexe Ă  vrai dire
 » commença-t-il tout en se levant du fauteuil pour aller reprendre le posa sa main sur le livre et l’attira contre lui, un drĂŽle de phĂ©nomĂšne se produisit. La lame le suivait. Elle glissa sur la table, jusqu’à temps qu’elle tombe sur le sol, alors que Ian Ă©loignait le livre de la table, observant se qui se passait. Il lança un regard perplexe aux trois autres et tourna le livre sur lui-mĂȘme. Sur le cĂŽtĂ©, les pages avaient Ă©tĂ© tĂąchĂ©s lĂ©gĂšrement du sang de la lame, et du coup, on aurait dit que ça agissait comme une sorte d’aimant. Le jeune homme s’accroupit et rapprocha / Ă©loigna le bouquin de la lame, qui elle, avançait toujours plus vers le livre, et vers Ian par le fait mĂȘme. Ok
 Ça, c’est pas normal
 »Petite expĂ©rience. Il fit glisser rapidement le livre contre le sol, qui partit quatre ou cinq mĂštres plus loin. La lame tourna sur elle-mĂȘme et, comme je l’ai dit, comme un aimant, elle glissa Ă  la vitesse de la lumiĂšre juste Ă  cĂŽtĂ©, mais sans y toucher, manquant de couper Ian au passage. Contenu sponsorisĂ©Sujet Re Everybody's Changing - Libre Everybody's Changing - Libre Page 1 sur 1 Sujets similaires» [alone...~libre]» You'll Ask For Me - Libre.» We Had A Bad Day... [Libre]» A l'air libre» Promenade [Libre]Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumMÉFAITS ACCOMPLISℱ Corbeille &&. ANCIENS RPSauter vers

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