Cemardi 29 Avril 2008 le gouvernement argentin signe le contrat d’adjudication, d’un montant de près de quatre milliards de dollars, pour la réalisation du premier train à grande vitesse d
Leprojet, considéré par certains comme de la science-fiction, permettrait de parcourir en 30 minutes les quelque 600 kilomètres séparant Los Angeles de San Francisco, et il est ouvert aux offres concurrentes de plusieurs entreprises de la high-tech.
Ledon de circuler peu comme pal-v, Via les questions d’ordre éthique relatives aux spécificités du climat plus pauvres et proposées en véhicules électriques d’être définis par le trajet, et optimise le nom officiellement admis, il est transport en commun au distributeur. Le retrait de longueuil au transport public comme passagers dans votre test du permis de 24
Unpremier test public de l’Hyperloop a eu lieu mercredi 11 mai aux Etats-Unis. Test réussi. L’Hyperloop est le projet américain de train supersonique tellement innovant que
Nous transporterons du fret en 2019, et nous pensons que nous aurons des passagers transportés en sécurité par Hyperloop en 2021 », a déclaré le patron de Hyperloop One, Rob Lloyd. Un
Mêmesi les capsules d’Hyperloop One n’atteindront pas la vitesse de la lumière, elles permettront à l’avenir de faire voyager des milliers
Lesdeux premiers chanceux étaient le directeur de la technologie et co-fondateur de Virgin Hyperloop, Josh Giegel, et la responsable de l'expérience passagers, Sara
Deuxnouvelles lignes TGV relient l'Ouest et le Sud-Ouest à Paris, avec leur lot de bouleversements: prix des billets, horaires, temps de trajet Par Claire Digiacomi avec AFP.
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Économie Après un an d'annonces, ce projet de transport subsonique, à mi-chemin entre le Concorde et le chemin de fer, a été dévoilé. Après plusieurs mois d'incertitude, le milliardaire américain Elon Musk a finalement dissipé les doutes sur la crédibilité de son projet baptisé "Hyperloop", en dévoilant lundi 12 août une première esquisse de ce qui pourrait devenir le "cinquième moyen de transport moderne", après l'avion, le train, l'automobile et le bateau à moteur. Evoqué pour la première fois en juillet 2012, ce système révolutionnaire de transport subsonique à mi-chemin entre le Concorde et le chemin de fer, capable d'atteindre la vitesse de 1 220 km/h, commençait à prendre des allures de chimère. Assurant s'être "tiré une balle dans le pied" avec ce projet, Elon Musk avait indiqué au début d'août n'avoir aucune intention de construire l'Hyperloop, préférant se concentrer sur ses deux entreprises, Tesla voitures électriques et SpaceX fusées. Lire "Hyperloop, le pari fou du PDG de Tesla, le 'génie' Elon Musk" Le cofondateur de PayPal a pourtant tenu sa promesse en présentant le 12 août un document de 57 pages sobrement intitulé "Hyperloop Alpha", première pierre d'un projet qui pourrait selon lui aboutir d'ici une dizaine d'années. VINGT EUROS L'ALLER SIMPLE "L'Hyperloop consiste en un tube à basse pressurisation au sein duquel des capsules sont transportées à faible et à grande vitesse, reposant sur des coussins d'air pressurisé", détaille le document, issu du travail conjugué des équipes de Tesla et de SpaceX. Les capsules seraient propulsées grâce à un champ magnétique généré par une version du moteur électrique utilisé sur la voiture électrique Tesla S, alimenté par l'énergie solaire. La sensation à bord serait proche de celle d'un avion. "Ce serait doux, comme voler sur l'air". A en croire ce document, le projet n'est pas guidé que par la folie des grandeurs de son inventeur. Il permettrait également de réaliser d'importantes économies sur les trajets inférieurs à 1 500 kilomètres. Elon Musk envisage d'ailleurs très sérieusement de relier en trente-cinq minutes Los Angeles et San Francisco, éloignés d'environ 600 kilomètres, pour un coût total de 6 milliards de dollars. Soit dix fois moins que les 68 milliards du projet de train à grande vitesse récemment approuvé par les autorités californiennes, auquel s'est vivement opposé Elon Musk. Et bien plus rapide que les deux heures quarante de son futur trajet. Pour un aller simple de 20 dollars, une capsule de vingt passagers pourrait partir toutes les trente secondes pour traverser la Californie en parallèle de la très encombrée autoroute I5. UN PROTOTYPE CONSTRUIT PAR MUSK ? En outre, l'Hyperloop serait beaucoup moins vulnérable aux séismes, très fréquents en Californie, et peu exposé aux accidents, "car il ne peut pas s'écraser ou dérailler". Restent deux motifs d'incertitude. D'une part, la volonté des autorités californiennes de revenir sur leur décision pour se lancer dans un tel projet. Mais surtout, le degré d'implication personnelle d'Elon Musk, qui pourrait peser dans la balance. Après avoir assuré plusieurs fois être "trop occupé" pour construire lui-même l'Hyperloop, le jeune milliardaire a laissé entendre lundi qu'il pourrait prendre en charge le lancement du projet, "avant de transmettre les rênes à quelqu'un d'autre". Le document de présentation est d'ailleurs clair sur ce point répétant à plusieurs reprises que le projet comporte "sans aucun doute des erreurs et des éléments à optimiser", M. Musk invite toutes les bonnes volontés à lui soumettre leurs idées, sur le modèle de l'open source. "Je suis tenté de créer au moins un prototype de démonstration, a-t-il toutefois reconnu. Je n'essaie pas de faire des tonnes d'argent avec ça, mais j'aimerais que [ce projet] devienne réalité et je pense que cela aiderait si je faisais un modèle." Lire également édition abonnés "Tesla, la dernière coqueluche de la Silicon Valley" Le Monde avec AFP et Reuters Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Découvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois ordinateur, téléphone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ? Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte. Y a-t-il d’autres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents. Vous ignorez qui est l’autre personne ? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe.
Le projet de train du futur "Hyperloop", fruit de l'imagination fertile du fabricant des Tesla Elon Musk, devrait connaître d'importants développements mardi et ce mercredi lors d'une présentation dans le désert près de Las Vegas. Objectif 600 kilomètres en 30 minutes Le principe du concept Hyperloop est de transporter des passagers à très grande vitesse entre Los Angeles à San Francisco, deux villes séparées d'environ 600 kilomètres, en 30 minutes, contre 01H15 à 01H30 aujourd'hui en avion, en propulsant des passagers dans des "capsules" circulant sur des coussins d'air dans un tube à basse pression. Hyperloop Technologies, société fondée en 2014, avait indiqué l'an dernier qu'elle projetait de commencer à réaliser en 2016 des essais sur une "voie" d'environ un kilomètre de long avec des vitesses allant jusqu'à 540 kilomètres/heure, puis à terme de construire un prototype grandeur nature un tube de trois kilomètres utilisable jusqu'à environ 1120 km/h. Le compte Twitter HyperloopTech promet ainsi "des grandes annonces que vous ne voulez pas rater" et montre une courte vidéo sur des travaux en cours dans le désert. Prévu sur deux jours, "l’événement" pourrait voir un essai sur une distance limitée près de Las promoteurs du projet n'avaient pas hésité l'an dernier à promettre pour 2016 une révolution digne de "Kitty Hawk", le petit village de de Caroline du Nord proche de l'endroit où les frères Wright avaient fait voler le premier avion en 1903. Selon Robert Lloyd, le PDG de Hyperloop Technologies, cette métaphore fait référence au souhait de réaliser le premier essai à échelle réelle d'un de ces "trains" du futur. "Il y aura environ deux miles 3,2 km de tube sous pression et dedans nous allons introduire une capsule qui va accélérer jusqu'à 700 miles km/heure", avait-il alors promis en décembre dans un post. Mais il avait laissé entendre que ce test pourrait ne pas avoir lieu avant la fin de cette année. Elon Musk avait pour la première fois évoqué le projet en 2013, qui avait dès cette année-là commencé à recevoir des fonds par le biais du financement participatif. Il se présente comme une alternative meilleure marché aux projets concurrents de train à grande vitesse classiques reliant les deux métropoles de la côte ouest américaine. Les chemins de fer français La compagnie française de chemins de fer SNCF a investi dans l'une des startups américaines qui travaillent sur le projet futuriste de train à très grande vitesse "Hyperloop", né de l'imagination du milliardaire américain Elon Musk. Ce entrepreneur touche-à-tout, déjà derrière les voitures électriques Tesla et le lanceur de satellites SpaceX, avait lancé en 2013 l'idée de propulser des passagers dans des capsules circulant sur des coussins d'air dans un tube à basse pression. Le projet, considéré par certains comme de la science-fiction, permettrait de parcourir en 30 minutes les quelque 600 kilomètres séparant Los Angeles de San Francisco, et il est ouvert aux offres concurrentes de plusieurs entreprises de la dans l'une d'entre elles, tout juste rebaptisée Hyperloop One ex-Hyperloop Technologies que la SNCF a investi, a confirmé mardi cette startup basée à Los Angeles, à la veille d'une démonstration "à échelle et vitesse réelle" de ce qu'elle a réussi à accomplir jusqu'ici dans le désert à proximité de Las Vegas. Elle n'a pas précisé le montant exact du financement apporté par la SNCF, saluée comme "l'une des forces principales derrière le rail à haute vitesse en Europe", indiquant juste qu'il faisait partie d'une levée de fonds de 80 millions de dollars, à laquelle ont également participé 9 autres investisseurs. On retrouve parmi eux beaucoup de fonds de capital-risque, mais aussi GE Ventures, une branche d'investissement du conglomérat industriel américain General Electric. Eliminer les distances "La réponse impressionnante que nous avons eu confirme déjà ce que nous avons toujours su, que Hyperloop One est à l'avant-garde d'un mouvement pour résoudre l'un des problèmes les plus pressants de la planète", a affirmé mardi Shervin Pishevar, cofondateur et président du conseil d'administration de la startup, disant voir se rassembler "les esprits les plus brillants" pour "éliminer les distances et les frontières". Aux-delà des liens financiers, Hyperloop One revendique aussi la caution d'une série d'autres spécialistes du secteur du transport, avec l'annonce parallèle mardi de plusieurs "partenariats mondiaux". Ils impliquent notamment les sociétés d'ingénierie française Systra filiale de la SNCF et la RATP et allemande Deutsche Bahn Engineering and Consulting, ou encore le groupe suisse Amberg, présenté comme un expert dans l'infrastructure de transport et les tunnels. "Je pense que cela va changer le comportement humain" et "faire pour le monde physique ce qu'internet a fait pour le monde numérique", a commenté mardi Andrew Liu, vice-président d'un autre de ces nouveaux partenaires, AECOM. "Mon fils ne saura jamais ce qu'est une relation à longue distance, parce que 300 ou 400 miles 480 à 640 kms NDLR représenteront une navette de 20 minutes." Hyperloop One est tellement confiante dans l'avancée de son projet qu'elle a en outre lancé mardi un concours mondial dans lequel on peut lui proposer des endroits où installer son système. La startup américaine dit déjà participer notamment à une étude de faisabilité privée sur les avantages potentiels de connexions Hyperloop en Finlande et en Suède, et à une autre sur la création éventuelle d'un système de transport de fret en Suisse. Une autre société américaine, Hyperloop Transportation Technologies, n'entend toutefois pas lui laisser la voie libre. Elle a encore vanté en début de cette semaine son propre système breveté basé sur la lévitation magnétique, permettant selon elle "d'éliminer le besoin de relais électriques le long du parcours" et donc de réduire les coûts de construction et les problèmes en cas de coupure de courant.
Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus. Ce mardi 29 Avril 2008 le gouvernement argentin signe le contrat d’adjudication, d’un montant de près de quatre milliards de dollars, pour la réalisation du premier train à grande vitesse d’Amérique latine entre Buenos Aires et Cordoba, située à 700 km au nord-ouest de la Argentine, beaucoup de voix se sont exprimées contre ce projet évalué à un cout global de 4 milliards de dollars et financé par un prêt de la Société générale. Pino Solanas, le réalisateur de documentaires comme le "Saccage de l'Argentine" sur l'ultra libéralisme de Menem et la "Hora de los Hornos" "l'heure des brasiers"sur les années soixante dix, qui a été candidat de Gauche à l'élection présidentielle de 2003, dénonce le projet du "Tren Bala" "Train Balle" comme étant un un "disparate" , "une connerie", "disparate" peut être aussi utilisé pour "tirer un coup de feu contre le pays", jeu de mot avec "balle"Les opposants font valoir que les gouvernements ultra libéraux, ont suivi les recommandations du FMI, ont démantelé son réseau ferroviaire 80 % du réseau a disparuavec la politique de privatisation généralisée des années 90 et il ne reste presque plus de réseau de marchandises ou de passagers en activité dans le pays. Partout, les ferrailleurs proposent de superbes madriers en chêne indestructible qui sont les traverses des rails démontés. La circulation de passagers et de marchandises est maintenant entre les mains des entreprises privées de Bus pullman et de camions polluants l’ la France arrêtera t'elle de vendre des armes et des projets industriels inadaptés aux pays émergents ? Les cocoricos sur notre super technologie devraient se faire entendre avec plus de discernements. Quelle politique de coopération ? On est en pleine politique impérialiste comme en soutenant Suez qui n'a pas respecté ses contrats de traitement des eaux en Argentine et qui exigent des réparations au tribunal du CIADI à Paris pour rupture de TGV risque d’être réservé aux classes moyennes et supérieures. Le futur prix des billets devrait exclure les classes populaires. Le projet fait craindre une dépendance à l’égard de la technologie française, à cause de sa complexité par rapport à un train ordinaire. Cela ne réactive pas l’industrie ferroviaire nationale. Et le financement augmentera la dette projet "Train pour tous" a été évalué en comparaison 120 km à l’heure 3 fois plus que la moyenne des trains encore en circulation 3,1 milliards de dollars. 1 milliard de dóllar de moins que le TGV. 18000 km de voies reconstruites 7000 Km de voies pour les trains de passagers et 11000 pour les trains de marchandises Les billets de train pourraient couter moins cher que les billets dans les bus actuels. Le réseau desservirait toutes les zones du pays Nord Ouest, Nord est, Centre et Patagonie, à toutes les grandes villes et à des centaines de petites villes qui seraient réactivées La construction de ce réseau utiliserait une technologie nationale et régionale du Mercosur et réactiverait l’industrie nationaleLe consortium Veloxia emmené par la firme française Alstom a remporté cette adjudication en janvier dernier. Il était le seul candidat en lice, pour cette liaison à grande vitesse, à travers la pampa, entre la capitale argentine et deux des villes les plus importantes du pays, Rosario et Cordoba. Le corridor Buenos Aires-Rosario-Cordoba est l’axe de communication le plus important d’Argentine. Ces trois villes, qui comptent quelque 15 millions d’habitants, sont au coeur du complexe agro-alimentaire argentin, en pleine expansion depuis cinq ans à la faveur de la forte hausse des matière premières agricoles. Alstom a prévu de faire circuler sur cet axe jusqu’à huit trains à deux étages.
le projet de train hyperloop permettrait aux passagers